Olivier Crépin-Leblond :                                                                       Oui, allez-y Heidi, qu’est-ce que vous alliez dire ?

Heidi Ullrich :                                                                             Ce que je voulais dire, c’est que dans 15 minutes je pense que nous aurons assez de personnes mais nous allons continuer à essayer  de joindre d’autres membres. Voir si nous pouvons compléter le  chorum.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Heidi. Je pense que nous pouvons commencer. Nous avons déjà commencé l’enregistrement ?

                                                                                                            Oui ? Bien. Bonjour à tout le monde ou bonsoir. Nous sommes dans la téléconférence d’ALAC. Nous sommes le mardi 27 avril de l’année 2011, il est donc 14 minutes après les 14h UTC, donc nous allons commencer avec l’ordre du jour.

                                                                                                            Point numéro 1. Est-ce que nous avons d’autres points à aborder ou des modifications ? Donc, pour le moment, nous allons continuer avec cet ordre du jour. Nous allons commencer avec l’appel.

Gisella Gruber-White :                                                        Bonjour tout le monde. Dans cette téléconférence, nous avons Olivier Crépin-Leblond, Edmon Chung, Cheryl Langdon-Orr, Alan Greenberg, Ron Sherwood, Sebastian Bachollet, Mohamed El Bashir, Tijani Ben Jemaa, Dev Anand Teelucksingh. J’espère que je n’ai publié personne.

                                                                                                            Nous avons des excuses de la part de Sandra Heferichter, Sylvia Herlein-Leite, Cintra Sooknanan, Jean-Jacques Subrenat, Carlton Samuels. Nous avons aujourd’hui Heidi Ullrich, Seth Greene, Matt Ashtiani et moi-même, Gisella Gruber-White.

                                                                                                            Je vous rappelle  s’il vous plaît de toujours dire votre nom avant de commencer.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Gisella. Donc, une petite chose. Nous avons une  excuse de la part d’Evan Leibovitch qui va arriver en retard. Je vous serai très reconnaissant que vous me fassiez savoir quand il sera avec nous.

                                                                                                            Ensuite, examination des points d’action. Nous en avions quatre à la dernière téléconférence le 17 mars. Le premier est que Patrick Lutz et Eric Brunner-Williams devaient développer une déclaration avec le SSAC. Ils ont déjà terminé. Merci beaucoup à eux. Ensuite, Alan Greenberg allait élaborer une déclaration pour la pour la scorecard du GAC et ça a été déjà fait. Donc, merci beaucoup. Et nous avons eu beaucoup d’apports ce dernier mois de la part de plusieurs membres. Ensuite, le guide traduit pour le wiki qui a été terminé. Et ensuite, dernière chose, le commentaire de Danny Youger à la dernière conférence et ça a été inclus. Est-ce que nous avons d’autres commentaires ? Pas de commentaires.

                                                                                                            Nous continuons. La prochaine partie, j’ai remarqué que nous n’avons pas de compte-rendu de la dernière téléconférence. Est-ce que nous allons les afficher à un moment donné ?

Heidi Ullrich :                                                                             Oui, je m’excuse. Vous savez que nous avons plusieurs transcriptions à terminer de la réunion de San Francisco, donc on est encore en retard. Mais je pense que nous les aurons bientôt.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Heidi. La prochaine partie, c’est donc la numéro 4 : examination des applications des ALS actuelles. Nous allons donc donner la parole au personnel pour nous donner un tout petit peu d’informations.

Heidi Ullrich :                                                                             Seth, si vous voulez ?

Seth Greene :                                                                             Non, non, Heidi je vous en prie.

Heidi Ullrich :                                                                             Merci. Nous avons donc deux aplications d’EURALO : European Media Platform et Ukrainian Internet Association. Je sais qu’hier nous avons reçu la pétition et elles ont déjà été présentées au Conseil. Nous en avons  aussi une d’AFRALO et aussi l’application de Calcutta. Elle passe encore par le Due Diligence mais on fait quand même du progrès, donc je pense que la pétition qui sera remise au conseil aura lieu bientôt.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Heidi. Est-ce que vous avez des commentaires , quelqu’un, par rapport à ces  demandes ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Oui, c’est Cheryl . Merci Olivier. Je voulais juste vous dire… je voudrais vous rappeler, surtout avec les chapitres de SSEC, je sais que plusieurs des demandes sont passées par l’étape du Due Diligence. Je sais que vous êtes bien au courant du processus de votation et surtout du compte-rendu qui a été remis au Conseil. Un petit rappel aux membres d’ALAC que NetMission est un groupe de l’Asie Pacifique. Nous avons eu plusieurs présentations de la part de cette organisation.  On les connaît très bien, ils ont participé à plusieurs réunions d’ALAC et à plusieurs réunions régionales. Lorsque vous pensez à ces jeunes de Hong Kong, c’est bien à cette organisation. Merci Olivier.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Ça serait une bonne addition. Nous allons  continuer si nous n’avons plus de commentaires.

                                                                                                            Prochaine partie, c’est les rapports. C’est le point numéro 5 et je sais qu’il y a un lien qui vous envoie aux rapports de plusieurs groupes de travail des RALO et des liaisons. Je remercie Edmon qui a déjà affiché son rapport. Vous allez trouver tous ces rapports sur cette page. On ne va pas tous les lire. Est-ce que vous avez des questions ou des commentaires par rapport à ces rapports ? Non ?

                                                                                                            Ecoutez, je dois vous avouer que je n’ai pas eu le temps de tous les lire. J’espère qu’ils ont eu tous l’opportunité des les afficher. Sinon, j’encourage toujours tous les RALO d’afficher leurs rapports comme ça tout le monde est au courant de vos activités, mais comme ça aussi, les membres de vos RALO sont toujours informés de vos activités. Oui, Cheryl ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Par rapport aux rapports d’activités des RALO, nous avons un système de wiki assez facile à utiliser et je ne sais pas si pour le futur il serait possible de peut-être élaborer un lien plus automatisé, comme ça les RALO auront plus de temps raisonnable pour pouvoir afficher leurs rapports. Surtout quand il y a des RALO qui célèbrent leur réunion le jour même de la réunion ALAC.

                                                                                                            Je sais que ça va beaucoup bénéficier aux secrétariats et  le RALO de l’Asie Pacifique. Peut-être un lien spécial automatisé aussi avec tous les comptes-rendus des réunions qui se célèbrent le jour-même et même les petites notes des points d’action. Je sais qu’avec le RALO de l’Océanie, on apprécierait ça. Parce que  ce serait plus facile de  vous mettre au courant de nos activités, étant donné que nous sommes en train d’essayer de mettre en marche plusieurs des processus du ALAC Review. Merci, c’est tout.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Ecoutez, c’est une très bonne idée et je n’ai aucune objection. Est-ce que nous avons des commentaires par rapport à ça ?

                                                                                                            Bien, alors je pense que nous pouvons continuer, Prochaine partie : new business. Pour les articles pour décision… ou alors lorsque nous allons prendre une décision, il faudrait avoir le quorum, n’est-ce pas ?

Heidi Ullrich :                                                                             Oui, c’est vrai que nous passer à la section des points à discuter.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Ecoutez, il y a deux manières d’aborder ce problème, Olivier, vu que nous n’avons pas le quorum. Pour prendre des décisions, il nous faut ce quorum à la réunion. Ce ne sera pas  possible pour cette réunion étant donné que nous avons plusieurs excuses. La manière d’aborder ça, c’est d’afficher, si vous voulez, en ligne les plusieurs points à décider pour essayer de prendre ces décisions avant la prochaine réunion. Ce serait une bonne manière d’aborder ça.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Je suis d’accord avec ça. Nous allons les mettre de côté pour le moment.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Oui, vous pourrez les discuter par exemple… je pense par exemple que l’article 7 est un point très important à discuter et nous pouvons peut-être discuter et essayer de formaliser la votation. Etant donné que je fais partie de la Commission Exécutive, je voudrais au moins écouter les opinions  des autres. Et essayer de terminer la discussion pendant la téléconférence de l’Excom si possible.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Ecoutez, le numéro 6, nous le mettrons de côté et nous ferons la discussion dans la liste.

                                                                                                            Donc, le numéro 7 c’est le groupe de travail dans les défis à venir.  Malheureusement  Jean-Jacques n’est pas ici. Ça  aurait été bien d’avoir Jean-Jacques pour faire partie de cette discussion, mais quelque chose dont je voudrais bien discuter avec vous, c’est la discussion de la Charte de la détermination des membres et des leaders, quels seraient les impératifs de ce groupe de travail et aussi si nous allons établir un  nouveau groupe de travail. Essayer d’analyser le temps que cela va prendre aux membres qui font partie des autres groupes. Je sais que nous avons reçu une question de la part de Jean-Jacques récemment et c’était une question par  rapport aux membres qui sont les membres des groupes de travail. C’est vrai que ce groupe de travail, ouvert à tout le monde, - ce n’est pas juste ouvert aux membres de la Commission Exécutive, mais aussi à tous les membres d’ALAC. Nous parlons bien entendu du groupe de travail qui abordera les défis à venir d’At-Large.

                                                                                                            C’est un problème de processus aussi, étant donné que je n’ai jamais créé de groupe de travail non plus. Donc, si Cheryl ou Heidi voulaient nous donner un peu plus d’explications… ?

Heidi Ullrich :                                                                             Cheryl, je vous donne la parole.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Je rigolais un peu… Alan, vous aviez levé votre main ?

Alan Greenberg :                                                                     Je voulais donc clarifier : j’avais lu qu’ils avaient arrêté la possibilité de se joindre et que des nouveaux  membres n’avaient plus le droit de se joindre.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Ecoutez, je pense que ce n’est pas vrai. Je sais qu’il y a eu plusieurs rumeurs qui sont passées partout et c’est vrai que nous n’avons pas eu de réponses assez claires. Je sais que quelqu’un a marqué que c’était déjà fermé. C’est vrai que c’est un peu confus avec les autres groupes de travail. Nous avons les autres groupes de travail avec plusieurs membres...

Alan Greenberg :                                                                     On peut savoir qui – si on s’intéresse ?

Olivier Crépin-Leblond :                                                     ALAC.  Vous pouvez faire votre annonce publique. Il est bien vrai  que nous ne pouvons pas prendre  de décision aujourd’hui, mais nous avons plusieurs co-présidents  présents ici aujourd’hui. Tijani ? On vous écoute.

Tijani Ben Jemaa :                                                                  Merci Olivier. Je suis à fait d’accord avec vous. Je pense que le Membership doit être  ouvert à tout le monde, mais je ne peux pas imaginer un groupe de travail efficace avec soi-disant 20 personnes par exemple.

                                                                                                            Si le membership est ouvert, je pense qu’il faut décider une quantité maximum de personnes que l’on pourrait accepter.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Je voudrais faire un petit commentaire par rapport à ça. C’est une question de processus. Nous parlons ici d’un groupe de travail permanent. Ce ne serait pas un groupe de travail ad hoc. Déjà nous avons besoin d’une réponse assez vite par rapport à ceux qui s’intéressent à l’appartenance. Les groupes de travail permanents doivent être gérés par une charte en particulier. C’est vrai que tous les groupes  de travail devraient adhérer à une charte en particulier. C’est vrai que l’on n’a pas été très sérieux en définissant nos chartes, étant donné que nous avons tendance à devenir un peu flexibles.

Mais étant donné que  nous avons une excellente opportunité de la part du programme d’amélioration d’ALAC, je pense qu’il serait bien de remodifier quelques règles des groupes de travail.

Qu’est-ce que je veux dire quand je dis un « groupe de travail permanent » ? Cela veut dire que nous aurons une liste de courriels. Je sais que traditionnellement, les listes de courriels sont ouvertes à tout le monde. Il y a toujours une liste de wiki qui est affichée. Bien entendu avec un bouton d’adhésion. Et aussi, une opportunité pour des activités pour ce groupe de travail en particulier. Tijani, pour répondre à votre commentaire, c’est pour ça qu’une qualité de membres de 20 ou plus pour ce groupe de travail permanent, serait plus efficace.

Par rapport à une charte, ce que je conseillerais, c’est de travailler avec les membres que nous avons déjà jusqu’à la fin de la semaine pour essayer d’élaborer, si vous voulez, un premier brouillon d’une charte préliminaire et puis la mettre sur le wiki pour donner aux gens l’opportunité  de faire des commentaires et de la modifier. Par rapport au leadership, nous avions des groupes où des leaders ont été désignés. Je pense qu’on pourrait profiter de ça. Nous avons déjà beaucoup de membres intéressés pour ces postes de Président et de co-Président, mais il sera très important et cela devra faire partie de tous les groupes de travail d’ALAC. C’est qu’un membre d’ALAC qui sera le lien avec tous ceux qui ne font pas partie d’ALAC. C’est-à-dire u n membre actuel d’ALAC qui fera le lien entre les activités du groupe de travail et ALAC.

Si nous établissons ce groupe de travail, je pense que ce serait une bonne idée de se guider avec les critères du groupe de travail du GNSO. Etant donné que le groupe du GNSO consiste à quelques membres d’ALAC. Il serait très bien d’analyser ces critères  du groupe de travail du GNSO et voir quels sont ces critères qui pourraient nous guider, qui nous conviennent finalement.

Dernière chose que je pourrais vous suggérer, si nous faisons un appel des membres, il serait bien de reconnaître les impératifs de performance. C’est-à-dire si nous avons des dates butoir pour les activités, par exemple pour les actions à suivre. Ce serait important peut-être d’inscrire ça dans la charte qui serait élaborée et ce serait digne de considération. Peut-être inclure dans cette charte… A part ça, je pense que c’est tout pour le moment ce que j’ai  à vous suggérer.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. J’allais vous demander : c’est le groupe de travail lui-même qui doit établir sa propre charte ou c’est l’ALAC qui établit la charte ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             En fait c’est ALAC qui doit élaborer la charte. Bien entendu, nous pouvons demander au  groupe de travail d’élaborer un petit brouillon avec quels sont les critères à suivre. Mais c’est donc l’organisation chartière d’ALAC. Les membres de ce groupe de travail ou les possibles membres du possible groupe de travail, ont l’opportunité de définir les critères et donc ce serait leur première tâche, faire  une petit brouillon, une petite liste de ce qu’ils veulent accomplir et essayer de faire ça en forme de charte.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Une autre petite question étant donné que vous êtes… seriez-vous d’accord pour devenir la guide de ces membres ou de ces possibles membres, pour élaborer cette charte ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Oui, tout à fait.  Cette charte doit suivre quelques critères et quelques régulations. Alan ?

Alan Greenberg :                                                                     Un petit commentaire par rapport au processus du GNSO. Cette instance, l’ALAC, doit approuver  cette charte. Si vous analysez l’histoire du GNSO, il y a quelques groupes à qui on dit d’élaborer une charte et puis de la renvoyer pour qu’elle soit évaluée, mais il n’y a pas une bonne ou une mauvaise manière de le faire. Finalement,  ce sera le rôle d’ALAC d’approuver la charte.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Alan. Je pense que si nous voulons encourager  et permettre au groupe de définir le travail, ce serait une bonne idée.  Encourager le groupe à écrire  un premier brouillon de leur charte, bien entendu, en suivant les critères et en travaillant avec ALAC. Oui, Tijani ?

Tijani Ben Jemaa :                                                                  Merci. Alan vient de dire exactement ou presque ce que je voulais dire. Je pense que c’est le rôle du groupe de travail d’établi ce qu’ils veulent.  C’est-à-dire que c’est à eux d’établir une charte pour ensuite la soumettre à ALAC pour recevoir leur approbation. A partir de ce moment c’est ALAC qui fait l’adoption de cette charte.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui Tijani, merci beaucoup. Je pense que c’est ce que nous allons faire.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Une dernière petite chose par rapport à ce sujet. Il faut bien noter cela : les possibles membres de ce groupe doivent être des membres assez connus d’ALAC. C’est très important d’avoir  quelqu’un qui pourra orienter, étant donné qu’At-Large fait une partie assez importante. Je sais que nous avons Tijani, Dave, qui s’intéressent à ce groupe. Nous n’avons personne de l’Asie Pacifique pour le moment, mais il y a toute une gamme de possibilités de noms et nous encourageons les ALS à se joindre à ce groupe de travail.

                                                                                                            Je sais que nous avons Jean-Jacques, Sergio, Evan, Marc Rotenberg, Darlene et Danny Younger.Je sais que nous avons déjà plusieurs personnes de l’ALAC qui sont assez connues et importantes, donc cette charte aura un soutien assez fort de la part d’ALAC.

                                                                                                            Je sais qu’à la  dernière réunion de San Francisco, Jean-Jacques a présenté cette proposition de ce processus par rapport à l’élaboration de ce groupe de travail et Marc a bien  manifesté son intérêt à devenir le leader de ce groupe de travail. Donc, je conseillerais peut-être, étant donné que nous avons déjà trois noms pour possibles présidents qui font partie d’ALAC… il serait peut-être une bonne idée de faire, de convertir une de ces personnes, non pas le  co-président, mais le lien entre ALAC et les autres non-membres pour travailler et pour bien maintenir tous ces non-membres au courant de toutes ces activités. En espérant que ce sera un  groupe qui va perdurer longtemps.

                                                                                                            Je sais qu’un de ces trois noms, vous devrez peut-être profiter de ces trois personnes qui s’intéressent, non pas comme co-président, mais peut-être comme le lien.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Ce que j’allais suggérer c’était de nominer Jean-Jacques comme Président provisoire comme c’est lui qui a proposé  ce groupe de travail et qu’il était largement intéressé par ce groupe. Nous ne pouvons pas encore prendre une décision.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Mais nous pouvons faire la proposition. Je suis tout à fait d’accord pour nommer Jean-Jacques en tant que Président de ce groupe de travail. Nous l’afficherons sur la liste pour recevoir une confirmation.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Tijani, vous êtes d’accord, alors ?

Tijani Ben Jemaa :                                                                  Oui tout à fait.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Magnifique. Donc, ce sera un point d’action ajouté à la liste. Mohammed aussi est tout à fait d’accord, donc c’est bien.

                                                                                                            Je ne veux pas passer trop de temps sur ce sujet étant donné que ce groupe de travail devra élaborer le premier  brouillon de sa charte, mais c’est vrai que c’est un groupe permanent. Je veux que ce soit aussi un groupe qui travaille et qui aie du succès. Il faut bien nous assurer que cette charte  qui sera élaborée soit bien faite. On ne veut pas imposer des limitations dans cette charte.

                                                                                                            Dernière petite chose : je sais que nous allons beaucoup discuter à propos de ça. A Singapour, l’atelier du dimanche va y consacrer beaucoup de temps. Il serait bien d’évaluer notre liste actuelle  de groupes de travail existante et de réfléchir quels sont les groupes de travail encore existants et lesquels doivent être réanimés.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Ecoutez, je vais amener mes soucis de chirurgie à Singapour. Petite blague, bien entendu…

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Evaluons les groups de travail d’At-Large en ce moment. Si vous regardez la page, il y a un lien de l’agenda vers cette page. Nous avons donc plusieurs groupes de travail. La majorité de ces groupes de  travail permanents – et je suis d’accord avec Heidi- doivent être réanimés. Voilà. Peut-être avec Marc, je ne sais pas.

                                                                                                            C’est vrai qu’il faut bien réévaluer ces groupes et soit les fermer soit les réanimer, parce que pour le moment, ils sont existants mais il n’y a pas beaucoup d’activités. C’est vrai que lorsque nous ajoutons un nouveau groupe, il y a encore moins d’encouragements pour continuer avec des activités. Est-ce que vous avez des commentaires ? Sebastian, vous vouliez dire quelque chose ? Vous êtes peut-être en mute. C’est *6 ou *7 ?

Tijani Ben Jemaa :                                                                  *7

Olivier Crépin-Leblond :                                                     *7 . On vous entend maintenant.

Sebastian Bachollet :                                                           Merci. Je voulais juste vous rappeler que pour le groupe de Responsabilité et Transparence, il faudrait au moins changer le leadership de ce groupe. Je voudrais être remplacé bien entendu. Je ne veux plus être le  co-président de ce groupe en particulier. Nous parlons du groupe  de travail  de Responsabilité et Transparence.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Cela m’étonne un peu. En analysant le travail qui a été fait dernièrement avec nos tentatives d’essayer de réanimer plusieurs groupes de travail, si vous voyez la page de Confluence, nous n’avons pas le nom d’Adam comme co-président.

Sebastien Bachollet :                                                           On est plus  énumérés comme membres mais si voyez par exemple les responsables, vous avez  mon nom, Sébastien Bachollet et Sylvia Herlein-Leitte comme vice-présidente. Et Adam aussi. Mais c’est la structure originelle qui a son temps.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui, tout à fait.

Sébastien Bachollet :                                                           On a tout à fait terminé depuis Novembre dans ce groupe.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     La structure future du groupe de Responsabilité et Transparence d’ICANN, il faut la recréer. Qu’est-ce que vous en pensez ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Ecoutez Olivier, c’est vrai que nous avons arrêté plusieurs des activités. Il faut quand même  garder les archives des anciens membres de ces groupes si nous avons l’intention de les réanimer. Bien entendu, moi j’ai fait partie de tous ces groupes.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui Cheryl. Vous faites partie de la page web. Voilà.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Merci. Nous allons parvenir à une clôture de ce groupe de travail et nous parlerons bien entendu du groupe de Transparence et de responsabilité. Peut-être que le staff vous pourriez faire aussi une petite rectification et peut-être utiliser ce groupe comme un exemple des groupes à réanimer et à élaborer des changements.

                                                                                                            Je sais qu’il y a beaucoup d’idées, beaucoup de suggestions, beaucoup de résultats dans cette page qui pourraient être utilisés pour les groupes à venir.  Il faudrait y dédier un peu de temps.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Je pense aussi… ce qui m’inquiète en particulier, si nous commençons en établissant de nouveaux groupes et nous terminons d’anciens groupes, le savoir qui va être perdu dans ce processus est assez important. C’est vrai que si les nouveaux groupes de travail ne prennent pas en compte le savoir et l’information des anciens groupes de travail, c’est vrai que beaucoup de choses peuvent être gaspillées.

                                                                                                            Je sais qu’à Singapour nous allons dédier un peu de temps pour faire un peu de transfert d’informations. Nous allons évaluer les groupes de  travail existants. Pas pendant cette téléconférence, mais à un autre moment et les discuter sur la liste. Décider quels sont  ceux que nous allons envoyer à la retraite et les groupes que nous  voulons réanimer. Est-ce que vous êtes tous d’accord avec ça ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Oui, c’est une bonne idée, mais c’est vrai que c’est une tâche  assez détaillée avant Singapour.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     C’est vrai qu’il y en a plusieurs. Essayer de lire toutes les informations, cela va prendre beaucoup de temps. Mais avec ça, je pense que nous pouvons continuer avec le prochain point à l’ordre du jour si on n’a plus de commentaires.

                                                                                                            Je pense nous avons déjà bien abordé ces sujets. Point 8 : remerciements au personnel. Le guide traduit du Wiki Confluence. Vous avez fait  un travail absolument excellent. Mois, j’ai appris beaucoup de choses avec ce guide, avec ce manuel. Je l’ai lu en Français aussi et c’était exactement l’équivalent de l’anglais. Malheureusement, nous n’avons pas le quorum pour la votation, mais en principe, je voudrais vous dire déjà qu’il faudrait remercier le staff pour ce guide de Confluence  et on pourrait peut-être faire la votation en ligne. Est-ce que vous avez des commentaires ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Si vous pouviez peut-être afficher sur la liste la déclaration de l’ExCom par rapport à ce guide ? Sébastien ?

Sébastien Bachollet :                                                           Simplement, je voudrais bien remercier le staff et leur dire que peut-être il faudrait faire, ou propager cette nouvelle parmi toute la communauté.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Est-ce que le Conseil fait déjà partie de Confluence ?

Sébastien Bachollet :                                                           Je ne sais pas. Je ne peux pas répondre à cette question, mais voilà.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Ce n’était pas la question demandée. Je pense que  le Conseil est assez étonné pour le moment. En tout cas, nous allons continuer.

                                                                                                            C’est vrai que je suis tout à fait d’accord avec la suggestion de Cheryl. L’ExCom va réaliser une déclaration et celle-ci sera présentée à ALAC pour la votation.

                                                                                                            Prochain point : les points de discussion. Le prochain point est la déclaration proposée par ALAC au Conseil de l’ICANN par rapport aux négociations du RAA. C’est un tout petit texte. C’est vrai que l’on ne nous a pas trop demandé notre avis. Mais pour vous donner un peu d’histoire, le conseil du GNSO ou le groupe de travail du GNSO a discuté… En fait, Alan, si je vous donne la parole- parce que je sais vous avez un tout petit peu plus d’informations-, c’est vrai que c’est lui qui fait partie du GNSO.

Alan Greenberg :                                                                     Je ne sais pas quel est votre question exactement.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Si vous pouviez nous donner un tout petit peu d’histoire sur les négociations du RAA et les discussions qui ont eu lieu dans le groupe de travail par rapport aux recommandations qui ont été faites et comment le Conseil du GNSO a voté.

Alan Greenberg :                                                                     J’ai mis une note sur le wiki, je ne sais pas si vous avez eu l’opportunité de la voir. Par rapport à l’histoire, le groupe de travail du RAA a réalisé une proposition avec des alternatives de comment procéder parce qu’une des questions qui a été posée était de comment réagir. Une des recommandations a été de continuer avec le concept d’observateur dans les négociations. ((inaudible)) Il y a eu un refus catégorique. Deuxième proposition : c’est une négociation d’ICANN, mais le reste du processus a été assez similaire. Je sais qu’il y a eu une proposition dont le contenu était de dire que le GNSO a adopté la proposition 1. Bien entendu, ils n’ont pas eu de succès. C’est vrai que les registrés ont joint les registreurs. Pourquoi ? Parce que c’est une question de ratifier les points contractuels, Ce qui est confus c’est que dans les dernières négociations, il y a eu des négociations unilatérale entre  le personnel de l’ICANN et les registrars et ensuite entre le GNSO a été dit « vous devez approuver ça avec une majorité de 2/3 si vous voulez l’adapter ». Bien entendu, le GNSO a révisé cela étant donné qu’ils n’ont pas participé. Finalement cela a été adopté par le GNSO avec la condition qu’il y aurait une discussion importante.

                                                                                                            Les bureaux  de registre n’étaient pas d’accord avec la deuxième version sur laquelle ils ont élaboré leurs recommandations étant donné qu’ils ont ajouté leurs limitations. Maintenant les bureaux de registre ont changé leur avis et maintenant ils disent qu’ils acceptent que le GNSO fasse partie du processus. Je sais que c’était en réponse à plusieurs problèmes. Beaucoup de choses devaient changer.

                                                                                                            C’est vrai que les bureaux de registre ne sont pas d’accord mais ils sont assez contents avec le contrat actuel. C’est donc les groupes d’utilisateur et ICANN qui veulent voir des changements, mais les bureaux de registre ne sont pas très flexibles avec les changements. Donc, voilà la situation actuelle.

                                                                                                            Je pense qu’il y a peut-être un petit impact. Le RAA parle de l’approbation… quant aux politiques de consensus… mais pas quant aux points de contrat. C’est vrai qu’il y a certaines parties qu’ils veulent approuver  par rapport au consensus mais ((inaudible)). Le point d’observateur est vraiment la partie essentielle de notre déclaration. Surtout c’est vrai que c’est  quelque chose d’assez difficile. Est-ce que vous avez compris un peu ce que je vous ai dit ?

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui, tout à fait Alan. Merci pour ça. Vous avez bien abordé les problèmes avec la déclaration actuelle, étant donné qu’il y a quand même un problème puisqu’il n’y a pas d’observateurs de la communauté. Ce n’est pas un processus transparent.

Alan Greenberg :                                                                     Oui, tout à fait. Les bureaux de registre ont tout à fait raison. C’est une négociation entre les bureaux de registre et l’ICANN. Ce que moi j’ai suggéré, c’est d’aller au-delà d’observateur et peut-être d’avoir une nomination dans la commission de négociation de membres d’ALAC, du GAC, du GNSO, ces groupes qui ne font pas partie… c’est-à-dire peut-être avec des conditions de confidence, mais  au moins pour avoir d’autres membres. Bien entendu, les bureaux de registre ont dit que si on le faisait de cette manière-ci, ils ne seraient pas disponibles pour participer. Le problème c’est que pour le moment, ICANN est complètement silencieux par rapport à ce point-là et ils ne nous disent pas ce que  l’on devrait faire. Je pense que notre lettre dirigée au Conseil est assez directe. C’est important de voir  l’avis de l’ICANN, surtout du Conseil de l’ICANN.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci pour ce petit résumé Alan. Je voudrais donc ajouter qu’il y a d’autres commentaires sur le wiki d’Eric Brunner-Williams qui voudrait élargir les autres points. Un de la part de Kieren McCarthy qui considère qu’ALAC s’implique dans des disputes avec la participation du GNSO et il voudrait voir peut-être une position  plus neutre. Je vois que Cheryl veut dire quelque chose.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Merci Olivier. Ecoutez,  il est 1h du matin dans ma région, donc c’est assez difficile. Voilà. Je sais que nous avons déjà beaucoup discuté sur ce sujet, mais je voudrais voir un p oint d’action avec tous les  membres d’ALAC sur l’espace du wiki parce que c’est vrai que c’est  quelque chose dont il est important de discuter et peut-être essayer de faire des propositions.

                                                                                                            Moi, je voudrais bien voir si vous voulez la liste disponible pour le GNSO et surtout aussi aux utilisateurs étant donné que l’on est tous des membres intéressés. Je ne veux pas que ce soit un texte qui soit mal interprété. Je  sais qu’il y a des gens qui sont assez mécontents qui n’ont pas eu le consensus dans une petite activité de groupe de travail du GNSO.  Je pense qu’on doit peut-être réélaborer cette petite déclaration de la part du GNSO et ajouter encore des choses. Si on pouvait faire ça entre maintenant  et le mois prochain, ce serait une bonne idée.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Et ce que je voulais vous demander c’est si on pourrait peut-être avoir ça prêt pour le jeudi, étant donné que c’est la réunion du conseil du GNSO. Je sais que c’est un peu impossible, mais bon voilà.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Nous avons un liaison qui peut les mettre eu courant par rapport aux autres activités.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui, Alan, que voulez-vous nous dire ?

Alan Greenberg :                                                                     Deux petites choses : tout d’abord, je suis d’accord avec Cheryl.  Il faut retirer de cette déclaration l’analyse de l’incapacité du GNSO à pouvoir réaliser certaines activités. Malheureusement, je pense que nous prenons une position… on a donc l’opinion qu’ICANN, c’est  plus qu’un groupe de staff. Je participe pour 4 ans et demi déjà avec ALAC et certains d’entre vous êtes très bien au courant que j’ai senti de la frustration plusieurs fois avec ((inaudible)) que nous avons envoyé au Conseil et donc contaminé vraiment les choses qu’on aurait pu leur dire.  Cette déclaration est une déclaration très importante donc il faut bien travailler sur elle. Une des raisons pour laquelle… Ce que je veux dire c’est que lorsque nous présentons quelque chose au Conseil, il faut leur présenter quelque chose d’important qui va vraiment être pris en considération. Cette déclaration, vraiment, est quelque chose qui fait partie de ça.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui, tout à fait. Cette déclaration sera tout à fait une déclaration très importante. Pour avoir participé à des déclarations précédentes, je sais que si vous voulez, j’ai demandé à Heidi plusieurs fois d’envoyer quelques consultations juste d’informations, mais on pourrait peut-être développer un petit protocole avec le Conseil et avec le personnel du Conseil comme ça on pourra leur  envoyer certaines déclarations comme ça, juste pour les informer de nos activités, mais aussi faire une différenciation entre ça et des  déclarations qui sont des déclarations importantes.

Alan Greenberg :                                                                     Vous savez quel est mon avis en tout cas par rapport à tout ça.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     J’essaie d’ouvrir la communication entre nous et le Conseil et les autres aussi pour maintenir ces chaînes de communication ouvertes et disponibles. Oui, Evan ?

Evan Leibovitch :                                                                     C’est une question d’ouvrir  ces chaînes de communication pour la première fois, c’est vrai que nous avons été assez étonné du fait que des semaines après que nous ayons répondu à une demande urgente de la part du GAC pour leur donner le commentaire dans leur carte…. Des semaines après avoir soumis cette déclaration, on apprend qu’ils n’ont même pas lu notre déclaration. Ce n’est même pas une question de maintenir la communication ou verte, c’est plutôt une question d’ouvrir la communication pour la première fois.

Ceci dit, je voulais vous dire aussi, je soutiens ce que dit Alan et je ne suis pas d’accord avec Kieren, ce n’est pas une question de prendre des côtés. Nous ne sommes pas ici comme arbitres et comme les mainteneurs de la paix.  Nous sommes ici pour représenter les voix des utilisateurs et des fois cela  coïncide avec les différentes communautés, parfois cela va en ligne avec les gouvernements, mais je pense que l’on n’a pas à s’excuser pour ça.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Evan. Je pense qu’on est tous bien d’accord par rapport à ce sujet. Je pense que vous avez bien manifesté le point de vue de plusieurs. Je vois une petite marque de Tijani qui est d’accord  avec vous et moi je suis d’accord avec vous. Ce que j’allais suggérer, une première chose. C’est vrai que nous ne pouvons pas faire  cette déclaration dans 24h. Il faut prendre un peu plus de temps pour qu’elle soit présentable auprès du Conseil et surtout auprès du GNSO. Il faut bien la présenter, au moins bien avant la prochaine réunion du Conseil. Je sais que le Conseil aura une retraite au mois de Mai, donc il faudra présenter ça au Board bien avant ça.  Qu’est-ce que vous en pensez de travailler sur quelque chose  avant ces occasions ? Oui, Alan ?

Alan Greenberg :                                                                     Ont-ils déjà publié l’ordre du jour pour la retraite du Conseil ? Sébastien, est-ce que vous avez quelque chose à dire par rapport à ça ? Non ? Pas d’ordre du jour pour ça ? Etant donné que nous avons ça visible par le blog d’Avri, il serait assez utile de le publier avant la retraite du Conseil, cela nous donne plusieurs semaines je pense.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui, je suis tout à fait d’accord, Alan, et bien entendu, c’est vrai que c’est un brouillon que nous avons en ce moment, mais je peux faire l’appel pour un volontaire pour incorporer ces modifications à cette déclaration que nous avons déjà.

Alan Greenberg :                                                                     Ecoutez, j’ai des opinions assez controversées…

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Vous n’êtes pas le seul à avoir des opinions assez controversées. Oui, Evan, donc.

                                                                                                            Par rapport à cette déclaration, c’est vrai qu’il faut commencer et mettre ça comme un point d’action et l’envoyer dans la liste pour que cette page soit évaluée pour que nous commencions à recevoir des commentaires. Ce n’est pas une question juste pour le Conseil du GNSO, c’est quelque chose qui va au-delà de ça.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Si Evan et Alan peuvent nous informer quand ils auront changé un peu du texte, comme ça, on pourra lire un peu leur version et voir s’il reste des choses à y faire. Mais faire une petite annonce… Mais si on fait partie de la page wiki pour faire l’annonce au nom d’ALAC, comme ça, on sera tous au courant quand il y aura des commentaires qui seront inclus.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     C’est une bonne idée. Je suis tout à fait d’accord.

                                                                                                            Pour la fin de la semaine, si Alan et Evan peuvent modifier et envoyer l’appel ?

Evan Leibovitch :                                                                     Oui.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Sébastien, vouliez-vous dire quelque chose ?

Sébastien Bachollet :                                                           C’est vrai que pendant la retraite, nous n’avons pas le droit de prendre des décisions  formelles et de faire des votations formelles, mais il serait une bonne idée de le publier avant la retraite, parce que sinon la prochaine réunion du Conseil sera à Singapour. Il n’y a pas d’activité entretemps.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Si nous pouvons élaborer ça avant Singapour, c’est quelque chose que nous pourrons discuter pour ça. Alan ?

Alan Greenberg :                                                                     C’est vrai que s’il y a quelque chose qui vient d’une réunion du Conseil,  c’est vrai que  ce sera comme une suggestion, ce ne sera pas une décision formelle. Mais en tous cas, c’est une question de si le Conseil décide d’aborder ce sujet ou pas. Ce que nous voulons  faire c’est leur faire savoir que c’est un sujet assez important.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Nous avons donc un plan à suivre. Prochain point à suivre, étant donné que nous avons passé beaucoup de temps pour ça, … ici, nous avons le point 10 : la résolution du Conseil dans  les choix au consommateur, compétition et innovation. Est-ce que  vous avez quelque chose à nous dire par rapport à ça parce que je  ne suis pas très au courant à propos de ça.

Sébastien Bachollet :                                                           Cela fait partie des discussions que nous  avons eues avec le Conseil et il faudrait que je retourne pour voir ce qu’ils ont écrit. Comme je vous l’ai dit, je n’étais pas présent, mais si j’ai quelque chose de plus important à vous dire, je vous le ferai savoir. D’accord ?

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Est-ce que nous avons d’autres commentaires ? Sébastien, si vous pouvez nous donner plus d’informations dans les jours à venir pour ça… je sais que nous avons besoin de plus d’informations par rapport à ce sujet pour vraiment faire quelque chose.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Juste par rapport à ce sujet, c’est le point numéro 10, j’étais présente à une réunion du Conseil avec Rosemary avec plusieurs autres groupes du GNSO et elle m’a assuré que… elle m’a rassuré qu’il y avait des discussions en  cours avec un des membres importants  du Conseil. Je pense que ce serait une bonne idée de nous connecter avec Rosemary pour qu’elle nous mette au courant  par rapport à ce qui se passe en ce moment par rapport à ce sujet.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. C’est vrai qu’on me dit d’une part de communiquer avec Rosemary et Rosemary me dit qu’elle n’est pas au courant, mais elle est au courant… alors c’est vrai que je suis un peu confus de temps en temps. Je pensais que ce serait elle qui allait vraiment prendre l’initiative. Sébastien, est-ce que vous avez une objection pour qu’Alan nous dise quelque chose ?

Alan Greenberg :                                                                     Il y a une réunion du GNSO le 7 mai et je sais qu’il  y a un point à l’ordre du jour pour aborder ce sujet et bien entendu nous parlerons du sujet sur la résolution du Conseil par rapport au choix du consommateur, compétition et innovation, et je  sais que Rosemary sera présente pour nous donner  une petite actualisation par rapport à ça, peut-être soit avant la réunion, pendant ou après la réunion. Mais c’est  vrai que c’est la personne du GNSO.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Alan, je ne fais pas partie de la liste du GNSo, si vous pouviez nous rediriger, après cette réunion, vers la liste ALAC ?

Alan Greenberg :                                                                     C’est leur site général avec toutes les informations.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Je parle de l’annonce que va faire  Rosemary le 7 mai.

Alan Greenberg :                                                                     Le compte-rendu sera publié. Je sais qu’elle sera présente et elle parlera à propos de ça pendant cette réunion le 7 mai.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Alan.

Sébastien Bachollet :                                                           Il serait important d’avoir un peu de contact de la part du staff. Je sais que lorsque nous travaillions sur le sujet des nouveaux gTLD, nous avions une liste de travail à faire. Je sais que j’ai eu  une discussion assez importante avec Bruce pour tenir en compte. J’essaierai donc d’avoir une discussion par rapport à ce sujet aussi.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Sébastien.

Prochain point sur l’ordre du jour : l’identification de données à partager  avec les bureaux de registre. J’ai reçu un courriel de la part des bureaux de registre et nous avons une liste d’activités à faire. Ils  se centrent surtout sur les produits de formation pour  les utilisateurs et pour les consommateurs. Ils nous demandent plus utiliser d’outreach de formation. Donc, il faudrait peut-être former un petit groupe pour travailler sur ça.  Je sais que de la part des bureaux de registre, je suis en train de lire un petit peu le courriel qu’ils m’on envoyé… Hammock Statton et Nicola Maylen… il y a trois personnes qui travaillent sur ça et nous avons besoin de quelques personnes. Donc, je cherche quelques volontaires qui s’intéressent de près à travailler un peu sur ça et à faire un suivi par rapport à ça.

Nous abordons le point 11 de l’ordre  du jour : identification de données à pouvoir partager avec les bureaux de registre.

Evan, ça me fait un peu de peine, je sais que vous avez beaucoup de travail mais je sais que vous avez participé à ce sujet de choix des consommateurs.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Moi, je m’intéresse beaucoup à faire ça.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Les commentaires qu’ils ont fait pendant la réunion, et je suis un peu perdu entre mes fenêtres sur l’ordinateur, les commentaires que nous avons entendus pendant la réunion, de la part de quelques membres d’ALAC… je pense que vous êtes l’une des personnes à avoir fait des commentaires à ce sujet.

                                                                                                            Je veux commencer à donner une petite réponse ((inaudible)) pour commencer. Mais bon, d’après ce qu’ils m’ont dit, c’est commencer une petite  éducation, ou une pette formation aux consommateurs, surtout avec les noms de domaines, l’usage général et  augmenter les efforts de formation et d’outreach. On a parlé de développer le système de noms de domaines à travers plus de formation. Mais ils veulent commencer à ((inaudible)) sur ce sujet. Donc, Cheryl, si vous  pouvez commencer avec ça.

                                                                                                            Je pense  que l’on devrait peut-être discuter ça dans la réunion de l’ExCom pour voir s’il y a quelqu’un d’autre qui s’intéresse à ça. Je sais que Sandra Hoferichter  avait exprimé son désir de voir plus de matériel de formation.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Oui, mais nous avons plus de mécanismes de soutien, surtout de la part d’ALAC. Je pense que l’on pourrait aborder ce sujet pendant  l’ExCom.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     C’est une suggestion pour la discussion de l’ExCom. Peut-être essayez d’envoyer ça à la liste pour voir si nous pouvons recruter encore plus de volontaires ou des personnes qui peuvent nous donner un petit point de vue par rapport à quel pourrait être le message de formation.

                                                                                                            Le prochain point donc, c’est donc le  commentaire de Danny Younger par rapport aux bureaux de registre de cybersquatting. Cheryl, c’est à vous.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Tout ce que j’ai, c’est  le commentaire devant moi et ce que je vous ai dit à San Francisco. Danny a publié ce commentaire dans le Adobe Connect et je pense que c’est quelque chose à bien discuter. Il y a certains membres dans notre communauté qui analysent beaucoup, surtout sur des sujets de conformité, avec quelques bureaux de registre qui ont des performances non satisfaisantes. C’est quelque chose que Danny a abordé plusieurs fois. Il faudrait peut-être discuter comment ALAC veut aborder ce point si important. Je pense que ce n’est pas de notre point de vue.

                                                                                                            Le commentaire de Danny était… « Je voudrais voir qu’ALAC publie une déclaration qui dise « On constate qu’il y a encore une place avec l’ICANN en partie accusée comme un cybersquatteur. Nous faisons appel au Comité de conformité de l’ICANN pour éliminer les bureaux de registres ambulants qui font partie de notre sein ».

                                                                                                            C’est une question … ce n’est pas notre rôle d’évaluer les points de conformité. Je sais que le Département de Conformité d’ICANN a essayé d’être plus actif et qu’ils étaient bien au courant des bureaux de registre qui s’engageaient dans  des activités qui n’étaient pas satisfaisantes. C’est une discussion que j’aimerais bien aborder dans la réunion de Singapour : Comment exactement la communauté d’At-Large, et pas ALAC nécessairement, pourrait assister dans la dissémination et la propagation de cette communication ? C’est-à-dire la communication entre les consommateurs et le Département de Conformité  d’ICANN.  Je sais qu’ils ont de nouveaux membres qui font partie de leur personnel et donc ils sont plus disponibles pour faire le travail qu’ils sont censés faire.

                                                                                                            La suite à donner à  ce qu’a dit Danny est assez importante étant donné que cela affecte plusieurs membres de la communauté. Mais je pense  qu’il faut plus entrer dans les détails dans ce sujet à l’avenir, pour pouvoir effectuer des changements plus efficaces. Et surtout essayer d’établir un système d’opérations entre le Département de Conformité et les ALS. Est-ce que j’ai été assez claire ?

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Oui. Ça vous a pris 4 minutes.  Est-ce que nous avons des questions ?

Alan Greenberg :                                                                     Ce n’est pas une question, mais une déclaration que je viens d’afficher sur le chat : il faudrait faire quelque chose soit avant Singapour, soit pendant Singapour.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Ce que vous aviez écrit sur le chat fait partie  de l’ordre du jour du GNSO du 7 mai. Et ce que vous suggérez est de faire quelque  chose de similaire, d’après ce que vous avez mis sur le chat, n’est-ce pas ? D’accord.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Mais je pense que c’est quelque chose qu’il faudrait mieux aborder. Je veux dire, surtout dans les réunions face à face pour avoir un meilleur lien entre le Département de Conformité et nos membres.

Alan Greenberg :                                                                     Il serait utile peut-être d’avoir une discussion au briefing, soit à la prochaine réunion d’ALAC au mois de mai.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Si on fait un briefing avant la téléconférence, je pense que ce serait une très bonne idée. Heidi, s’il vous plaît ? Il faudrait donc bien organiser une téléconférence qui va aborder le sujet de conformité.

                                                                                                            Merci Heidi.

                                                                                                            Prochain point : groupes de travail. Oui, Cheryl.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Nous avons plusieurs groupes de travail en ce moment. Il n’y a pas de grands changements. Nous avons le groupe de travail des régions géographiques, le groupe de travail conjoint de DNS sécurité et stabilité. Je viens de vérifier avec le groupe d’évolutions technologiques, il n’y a pas grand-chose qu’ils ont fait après leur dernier rapport. C’est  vrai que nous n’avons pas de membres dans tous ces groupes. Nous avons des membres dans la majorité de ces groupes.

                                                                                                            Nous avons aussi le groupe d’évolutions technologiques, mais peut-être qu’un point d’action c’est  d’évaluer  pour voir quel est le point où nous en sommes par rapport au groupe de travail d’évolutions technologiques. C’est vrai que nous avons besoin de nommer un observateur, même pas un représentant, pour ce groupe d’évolutions technologiques.

                                                                                                            Et puis, un observateur pour le cadre d’interprétation du ccNSO, c’est quelque chose qu’il faudrait peut-être aborder ce soir  ou à la prochaine réunion. N’est-ce pas ? On va le mettre de côté pour le moment. En fait, je veux parler avec  le groupe de travail JAS. Je sais que nous avons quelques membres du JAS dans cette téléconférence.

                                                                                                            Je m’inquiète beaucoup en ce moment avec la capacité de ce groupe pour vraiment accomplir tous les buts. Je pense que nous n’allons pas  pouvoir arriver à des solutions assez importantes, mais je m’inquiète vraiment sur ce que nous allons pouvoir produire. Ce n’est pas que nous ne travaillions pas, c’est que nous ne travaillons pas assez vite et nous ne voyons pas les résultats que nous voulons voir. Je pense  qu’ALAC, comme organisation chartière, et surtout pour le président et le co-président, s’ils pouvaient nous donner quelques critères de quelles sont les actions à remplir, dans quel délai… parce que c’est vrai qu’il y a  quelques parties du processus des nouveau gTLD et surtout d’autres discussions et d’autres sujets que nous délivrons encore. Je sais qu’ils attendent encore des délibérations de la part du JAS. Et je pense que c’est une étape critique. Alan est d’accord avec moi.

                                                                                                            Ce que je veux dire c’est que peut-être nous avons besoin d’envoyer au groupe de travail du JAS des instructions précises de ce que nous attendons d’eux.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Je crois que je n’ai pas entendu ce que vous avez dit avant. Est-ce que vous avez des commentaires ?

                                                                                                            Mais je suis tout à fait d’accord avec ce que vous avez dit à propos du JAS. Peut-être que nous devrions leur donner un tout petit peu plus d’orientations.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Dire, je ne sais pas, « nous avons besoin de ci ou de ça » et leur donner  un petit plus d’orientation.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Par rapport aux groupes de travail d’interprétation du ccNSO, il faut nommer un représentant, donc je cherche des volontaires, bien entendu. Je sais que nous avons un liaison du ccNSO, mais je ne sais pas si notre liaison du ccNSO s’intéresse à ce poste ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Avec plaisir. Ce n’est pas quelque chose qui serait assez onéreuses quant au travail à faire, mais c’est  vrai qu’il faut donner un peu de priorités au travail à faire au niveau des évolutions technologiques. Il faudrait une liste actualisée des membres qui font partie des groupes de travail.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Par rapport au DSSA,  c’est-à-dire le groupe de travail de Sécurité et Stabilité, je sais  qu’il y aura une réunion  entre les co-présidents. Nous allons commencer le processus et il y aura des téléconférences avec tous les membres de ces groupes de travail et des autres groupes de travail. Nous avons des participants de  plusieurs de ces groupes de travail. Il y a beaucoup de personnes et donc vraiment, j’espère que l’on pourra profiter de ça et bien contribuer aux groupes de travail.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             J’ai une petite question Olivier. Quand nous avons fait la Charte, les co-présidents étaient les présidents de l’organisation chartière, est-ce que c’est encore la même situation ? C’est-à-dire est-ce que c’est vous, Lesley et Stefan ?

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Non, ce n’est pas comme ça du tout. Je sais que dans la  part d’At-Large, ça a été créé de cette manière-ci, mais maintenant, c’est Mikey O’Connor, Jörg Schweiger et Mark Kosters. Mais aucun d’entre eux n’est la président des différentes organisations. Mais je pense que bientôt, nous aurons les détails de tous les présidents. Je pense que la première réunion va tout simplement coordonner si vous voulez. On a eu un petit délai parce qu’il y avait quelques personnes en vacances. Mais nous allons commencer à travailler sur ça.

                                                                                                            Prochain point : pour le groupe de travail d’évolutions technologiques et de services WHOIS, on avait besoin d’un observateur ?

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Je ne vois pas de demande d’observateur. Nous n’avons même pas de membres.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Nous allons faire le suivi par courriel.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Je pense que nous avions déjà commencé à travailler sur ça.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     C’est assez bizarre que ça ait été même abordé. Il faut que je me renseigne. Etant donné que l’on est un peu en retard, nous allons donc aborder les deux derniers points. Donc : appel pour des volontaires pour l’équipe d’étude de cas pour les variantes IDN TLD…

Cheryl Langdon-Orr :                                                             C’est ce que j’allais dire en fait…

Olivier Crépin-Leblond :                                                     J’espère que notre liaison IDN est encore avec nous. Edmon ? Ecoutez, on vous en prie. Est-ce que ça vous intéresse ? On pense que vous êtes assez familiarisé avec ce sujet. Est-ce que vous avez des informations à nous donner ?

Edmon Chung :                                                                          C’est le projet de variante IDN. Je me suis déjà présenté comme volontaire avec l’équipe du Cas d’étude et j’offre mes services si vous voulez et mon personnel aussi, comme liaison pour cette équipe d’étude de cas. Mais surtout, c’est vraiment un appel ouvert pour avoir plus de volontaires pour cette étude de cas.

                                                                                                            Je sais que dans la téléconférence d’Asie Pacifique, j’ai aussi fait un appel pour avoir plus de volontaires. Ce serait bien de voir des membres des ALS et même d’ALAC participer à cette étude de cas. Surtout ceux qui sont des experts, dans les langues dans lesquelles ces études sont réalisées. Je vais continuer à travailler sur les développements et à vous faire des suivis. Je sais que nous avons à peine présenté l’appel pour les volontaires pour bien former cette équipe.  Selon le plan proposé, le travail va commencer dans le courant du mois de Mai.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Tout à fait. Je sais que le 19 mai est la date de clôture pour les volontaires. Une petite question : la constitution de cette équipe d’étude de cas, nous avons plusieurs experts, c’est-à-dire des gens qui ont des connaissances non seulement dans les opérations de bureaux de registre, de sécurité et de stabilité, mais aussi des coutumes locales. Cela va aussi aborder avec des caractères en arabe, en grec… Combien de personnes est-ce qu’on devrait proposer ?

Edmon Chung :                                                                          C’est une question assez compliquée, mais je pense que par rapport à la quantité de personnes à envoyer, je ne sais pas, faire un appel à tous ceux, déjà, qui connaissent les langues, les 5 langues officielles. Donc, des experts sur le sujet mais aussi des experts dans les langues : chinois, grec et arabe, en parlant des caractères bien entendu. Mais aussi, je pense que moi-même je pourrai essayer de superviser un peu tous ceux qui seraient prêts à faire des contributions surtout sur le chinois. Mais par rapport à la quantité de gens, il faudrait peut-être identifier ça par rapport aux groupes selon les langues.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Ce n’est pas que je ne suis pas d’accord avec Edmon, mais il y a eu une réunion avec le groupe existant  d’IDN-TLD, c’était surtout pour  traiter de cette activité. J’ai fait partie de ce groupe de travail. Ce n’est pas seulement une question d’utiliser et d’opérer ces langues en particulier, mais en fait nous avons besoin d’une série de capacités assez  efficaces assez définies. Surtout tous ceux qui ont plusieurs connaissances en caractères.

                                                                                                            Ce n’est pas une question d’envoyer… tout ce que je veux dire, c’est que nous avons besoin de personnes qui ont des capacités assez détaillées parce que nous avons besoin de bonnes capacités. C’est une question de compétence et pas de quantité surtout.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Je vois qu’Edmon est d’accord avec ça. Tijani ?

Tijani Ben Jemaa :                                                                  Vous m’entendez, maintenant ? Je pense que c’est quelque chose qui a été initié par l’IANA. Nous avons parlé à propose de ça et j’ai fait  quelques discussions avec Nayla  et je m’étais présenté comme volontaire. Mais tout d’un coup, nous avons eu beaucoup de silence et voilà. Il y a quelque chose à faire parce que je ne vois pas de courriels dans la liste ou quoique ce soit.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Tijani. La pétition avait été faite par courriel à moi-même et je voulais parler à propos de ça avant de l’envoyer. Oui Sébastien ?

Sébastien Bachollet :                                                           Une des raisons pour laquelle l’équipe chargée de ça avait été formée  pendant la dernière réunion de l’ICANN à San Francisco… mais aucun des leaders du Conseil ne peut participer dans cette activité. Donc c’est pour ça, qu’ils ont recommencé l’appel maintenant.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Sébastien. Donc, ils ont réanimé ça si vous voulez.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Oui, c’est un nouveau groupe, tout à fait nouveau.

                                                                                                            Comme vient de le dire Sébastien, plusieurs leaders étaient des experts et ils se centrent surtout sur des paramètres à mesurer dans des cas d’études. Beaucoup du travail que nous avons fait au sujet des IDN et des variantes, c’est vrai que nous n’avons pas fait de bons cas d’études.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Merci Cheryl. Il faudra donc envoyer cet appel à ALAC pour faire une sélection des meilleurs candidats. Bien entendu, par expérience et par connaissance par rapport à ce sujet des variantes IDN.

                                                                                                            Je pense que… il y a encore des commentaires ? Oui, Alan.

Alan Greenberg :                                                                     Ce n’est pas une question de non seulement d’experts mais de gens qui ont le désir de travailler aussi.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Tout à fait : expert mais aussi le désir de travailler.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Ce n’est pas un groupe de travail qui va permettre des fainéances.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Surtout par rapport à mes expériences précédentes, je pense qu’ALAC sera assez strict.

                                                                                                            Dernier point dans l’agenda : any other business ? Non ? Personne ?

Heidi Ullrich :                                                                             Dernière petite chose. Il n’y a pas de dernier point, donc nous avons une minute. Je voulais juste vous dire que ce sera ma dernière téléconférence d’ALAC. Je vous souhaite le meilleur pour Singapour. Je serai en contact, bien entendu, mais en tous cas, dans la mesure, nous avons un nouveau membre du  personnel d’At-Large, c’est Matt Ashtiani.

Matt Ashtiani :                                                                          Bonjour à tout le monde.

Cheryl Langdon-Orr :                                                             Bonjour Matt.

Heidi Ullrich :                                                                             Matt se mettra au courant bien vite de toutes mes activités.

Olivier Crépin-Leblond :                                                     Heidi, je voulais vous remercier de tout votre travail. Et surtout, depuis que j’ai commencé  avec la Présidence d’ALAC, mais aussi votre dernière semaine et de devoir équilibrer entre une centaine d’activités entre les déclarations que nous envoyons tout le temps mais aussi avec le fait de mettre tout le monde au courant des activités. On vous applaudit.

                                                                                                            On applaudit Matt aussi. C’est vraiment un plaisir de vous voir ici. Merci beaucoup. Vous n’avez aucune idée de ce que vous allez commencer à faire. Ce sera beaucoup de travail. Merci.

                                                                                                            Merci à tous pour écouter la téléconférence et très bonne journée. Au revoir.

((Fin de l’enregistrement))





















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