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Interprète :Pour Cheryl : Comme je disais, la concentration aujourd’hui de la réunion est de soulever la compréhension de ce qui se passe dans les régions géographiques. Et la première chose, dit Cheryl, je pense que – Rob, corrigez-moi si c’est pas correct, mais il y a des rapports des groupes de travail dont on est engagés, Carlton et moi. C’est une question que je crois que les chefs régionaux et représentants des structures at large dans les cinq régions devant eLAC World doivent se concentrer très sérieusement. Et je pense, dit Cheryl, que nous avons un peu négligé. Évidemment, le rapport n’entre pas dans toutes les choses les plus importantes. Mais ce qu’on veut faire aujourd’hui c’est surtout de regarder les points saillants, les points plus importants qui ont été présentés par les groupes de travail. Et Rob, je ne sais pas si vous avez l’accès, vous pouvez accéder les diapositives ou les tableaux qu’on pourrait peut-être partager avec le groupe aujourd’hui.
Pour Rob : Malheureusement, Rob dit, je ne peux pas le faire avec Adobe aujourd’hui.
Pour Cheryl : Alors ce que je voudrais faire est de nous assurer, dit Cheryl, que nous présentons les slides, les diapositives qu’on avait déjà présentées dans leur forme (inaudible) sur le Wikie et (inaudible) des réunions, de manière qu’on veut avoir des réactions plus complètes régionales. Alors ça peut être d’assistance et ils peuvent les accéder.
Ces informations dans ces tableaux sont très utiles. Comme introduction, présentation, Rob a travaillé sur ça. Et pour chercher d’être concentré maintenant, on a fait une révision plutôt extensive des – de ce qui est utilisé maintenant par ICANN pour ce qui concerne les démarcations des cinq régions géographiques. Et ça nous a présenté des questions plutôt intéressantes. Rob, est-ce que vous voulez faire des présentations, des remarques pour nous mettre tous sur la même page?
Pour Rob : Oui, dit Rob. Je vais essayer d’éclaircir.
Comme vous avez été alertés par Cheryl et Carlton dans des conversations précédentes dans les réunions eLAC, l’approche ccnsl, la commission atteint, en 2007 à peu près, la préoccupation majeure des régions géographiques qui n’avaient pas été re-visionnées. Il y avait des anomalies, des préoccupations pour ce qui concerne la manière de les présenter et d’allocation.
Alors la commission ICANN a créé un groupe de travail de communauté générale et a invité toutes les organisations de soutien d’envoyer les représentants à ce groupe. Et ce groupe, le charter, a été agréé cet été dernier. Et le charter du groupe a délimité trois phases où le groupe produit un rapport initial avec les juridictions, la délimitation des efforts. Le deuxième rapport, qui doit être – qui est anticipé comme un rapport avant-projet, avec des recommandations précises et spécifiques. Et le rapport final, c’est les groupes de travail qui font des recommandations précises à la communauté ou bien des changements dans leur région. Ou, s’il n’y a pas de changement ou surtout des autres actions qui peuvent être engagées.
Le groupe de travail, dans la première phase de cet effort, après avoir passé beaucoup de temps en faisant le – la présentation de leur charter, les articles d’incorporation et tout ça, ils ont produit le rapport initial. Après la réunion de Sydney, ils ont cherché de présenter, pour la communauté, des paramètres généraux pour avoir les réactions de la communauté et pour voir s’ils avaient identifié bien les problèmes, et aussi pour créer le cadre correct pour ce qu’ils devaient faire et avoir la réaction de la communauté en général. De voir si c’était consistent et correct.
Et ce document, dont Cheryl a parlé, a eu un forum de commentaires publics qui s’est fermé seulement le 4 septembre. Et pour – on a reçu seulement un commentaire public dans le forum jusqu’à maintenant.
Pour Cheryl : Cheryl est en train de rire un peu. Elle a dit, seulement une réaction.
Pour Rob : Je pense que, dit Rob, comme vous savez ce que tu as fait, Cheryl, pour tout le groupe. Le rapport initial surtout à préparer la scène et un peu les idées. Mais les conversations seront beaucoup plus vitales dans le rapport moyen. Et puis pour ce qui concerne les prospectives du groupe du travail, c’était avoir l’idée des discussions; quelles sont les utilisations géographiques dans ICANN, si les groupes de travail ont identifié les – les utilisations correctes qu’ils n’avaient pas identifiées. Et puis plus généralement, est-ce qu’il y a des zones qui doivent être éliminées comme juridictions et s’il y a des autres régions ou des zones qui doivent être ajoutées.
Alors ça c’était plus ou moins le rapport, ce premier rapport.
Pour participant non-identifié : Merci Cheryl. Alors mes salutations. Et je n’ai pas le contrôle sur le Adobe comme éditeur. Mais les premières questions dans le rapport initial, le groupe de travail a demandé d’avoir des réactions de la communauté.
Pour Cheryl : Ce qu’on pourrait faire, dit Cheryl, est demander à Rob si c’est possible de (inaudible) les remarques et les idées générales du public. Moi j’étais tellement occupée, je m’excuse, dit Cheryl, je ne l’ai pas lu encore, malheureusement. Mais ça c’était la raison d’être.
Pour participant non-identifié : Les remarque qui sont venues, est-ce qu’il y avait une analyse de ces premières questions, ces premières décisions? Mais c’était un commentaire qui disait – qui demandait la création d’une région, d’une région arabe pour identifier les intérêts arabes. Surtout au Moyen-Orient avec les intérêts arabes.
Pour Cheryl : Ah oui, évidemment, dit Cheryl, c’était quelque chose dont on avait déjà parlé dans le rapport initial. Et c’est intéressant et ça sera bien d’avoir eu Carlton sur cet appel parce qu’il y a une situation analogue, similaire des états arabes avec les états des îles. Par exemple les îles du Pacifique en Asie. L’expérience de Carlton dans les îles Caraïbes et du Sud Amérique, c’était similaire, où il y a le sentiment que c’est plutôt large comme région géographique, ils ont besoins très spécifiques, très précis. Et même si ce ne sont pas des questions culturelles, mais les capacités de pouvoir s’engager dans – dans le monde Internet.
Alors ça c’est quelque chose, dit Cheryl, que chacune des parties du comité at large et les chefs régionaux doivent discuter et doivent affronter ce face-à-face, ces questions.
Alors je demande maintenant.
Ah, maintenant il paraît qu’il y a un autre écran qui s’ouvre sur mon ordinateur, dit Cheryl. Mais est-ce qu’il y a d’autres questions à ce sujet pour ce qui concerne les régions différentes? Nous avons le Sud Amérique, le Nord Amérique ici et puis nous avons aussi, évidemment, en Afrique. Nous avons quelques personnes du côté français. Est-ce qu’il y a quelqu’un du côté espagnol en ce moment maintenant? Est-ce que quelqu’un est arrivé?
Pour participant non-identifié : Pas encore.
Pour Cheryl : Alors est-ce qu’il y a des questions ou remarques dont on veut parler? Est-ce qu’il y a des réactions? Maintenant que je cherche de mettre à ce (inaudible) board sur l’écran pour pouvoir y écrire.
Pour participant non-identifié : Alors la région arabe, un des hommes est en train de parler, c’est sous quel – est-ce que c’est l’Asie Pacifique?
Pour Cheryl : Oui. La région Asie Pacifique est plutôt énorme géographiquement et aussi culturellement, et comme langue aussi. Pour ce qui concerne le développement des pays et les régions, dans Asie Pacifique s’est inclus les états arabes et les antipodes, ça s’est New Zealand et Australie.
Pour participant non-identifié : Alors les participations des autres pays du Moyen-Orient à AFRALO pour ce qui concerne...
Pour Cheryl : Ah oui, Cheryl dit, oui, on a un de nos plus tôt de structures at large qui est la communauté arabe. Et maintenant nous assurons qu’il y a une balance de la communauté régionale arabe. Et nous avons un sous-président de ces états et ceux qui sont plus au sud. Alors nous avons nos îles pacifiques, le chef qui est un de nos vice-présidents et puis notre leader, comme l’autre vice-président.
Oui. On peut regarder les maps géographiques à ICANN. Et ça serait bien, dit Cheryl, que peut-être les Sud Américain et les caraïbes pourraient bien discuter de ça quand on arrive à la prochaine phase, pour arriver au centre. Au point plus important pour le développement aussi, la diversité culturelle et des langues. Peut-être c’est assez, vous avez le Sud Amérique et aussi les Caraïbes. Alors ça veut dire qu’il y a, évidemment, des questions qui pourraient être analysées et engagées comme langue et comme participation.
Du côté français, du point de vue africain, est-ce que, pour ce qui concerne la diversité des langues, et vous avez aussi la diversité dans la capacité d’être engagé, de comment on utilise les régions avec le ICANN, est-ce qu’il y a quelqu’un qui veut commenter? Qui veut faire une remarque?
Interprète : I just asked and I am waiting for a response (inaudible).
Est-ce qu’il y a quelqu’un qui voudrait répondre ou participer?
Tjani : Tijani.
Interprète : Tijani. Alors je (inaudible) à Tijani.
Tijani : Oui. Alors l’Afrique est la région où la diversité est la plus prononcée, en quelque sorte, puisqu’en Afrique il y a...
Interprète : (Inaudible) la région où la diversité est plus prononcée.
Tijani : Je veux dire, je veux dire c’est la région où, par exemple, sur le plan linguistique, il y a plusieurs langues qui sont parlées, qui sont utilisées en Afrique. On ne peut pas dire que l’Afrique parle le même langage, la même langue. Ils sont loin de parler la même langue. Et donc... Mais pourtant moi je ne pense pas qu’il faut fractionner l’Afrique parce qu’ils ont cette diversité de langue.
(Inaudible) il y a – il y a, si vous voulez, une petite fracture entre l’Afrique francophone et l’Afrique anglophone. Une fracture qui n’est pas réelle, qui est juste dans l’esprit des gens. Parce que chacun veut que tout soit en anglais ou tout soit en français. Mais les intérêts de l’Afrique restent les mêmes. L’intérêt de l’Afrique le reste le même. Tous les Africains ont le même intérêt. Tous les Africains sont à peu près dans la même situation.
Bien sûr il y a les différences entre certains pays africains qui sont plus, si vous voulez, encrées dans la (inaudible) de l’information que d’autres. Donc, mais d’une manière générale, l’Afrique d’une manière générale a les mêmes intérêts.
Je reviens à la question de la communauté arabe. C’est une question réelle.
Interprète : Quelle question? Quelle question? Répétez.
Tijani : La communauté arabe. La région arabe.
Interprète : D’accord.
Tijani : Voilà. C’est une question – c’est un problème réel puisque les Arabes sont divisés entre l’Afrique, l’Asie et donc – et pourtant tous les pays arabes ont à peu près les mêmes intérêts. Je dirais même tout à fait les mêmes intérêts. Ils sont plus ou moins au même degré d’intégration des technologies. Des technologies de l’information je veux dire.
Donc une région arabe serait intéressante parce que ça représente – sur le plan culturel, sur le plan linguistique et sur le plan d’intégration des technologies, ils sont à peu près – ils ont à peu près les mêmes intérêts.
Interprète : D’accord. Merci.
Pour Cheryl : Merci Tijani. Alors ça nous soulève des questions plutôt intéressantes, très intéressantes. Oh, il faut fermer, mettre sur « muet », *6, parce qu’il y a une réverbération, un écho.
Hawa : (Inaudible). Je voulais envoyer un commentaire mais je vais attendre – je vais laisser (inaudible).
Interprète : Alors attendez. Je vais leur dire.
Pour Cheryl : Cheryl est en train de parler que peut-être on devrait peut-être avoir une région arabe. Est-ce qu’on va parler de l’approche qu’on peut discuter de ça?
Pour participant non-identifié : Et puis un autre des anglais parlent, les recommandations, des commentaires, c’était d’identifier les régions arabes avec la concentration sur la participation dans le Arab League qui est reconnue par les Nations Unies.
Pour Cheryl : Alors Cheryl dit, je pense que ça nous amène de nouveau à une question qui a été soulevée sur la troisième table. C’est si quelqu’un devait s’aligner avec quelque standard international. Si on regarde les régions des États-Unis qui sont un peu différentes, inclus les leagues of Nations arabes à celles que nous utilisons, je me demande si – quelle est la réaction des représentants africains ici.
Je vois qu’Allan et après le côté français. Alors premièrement Allan.
Pour Allan : Allan : En écoutant les commentaires, les remarques et cherchant d’extrapoler l’importance et les recommandations du groupe de travail, la conception, le concept d’avoir des régions d’ICANN divisées sur – du côté linguistique, par exemple, alors ça, ça veut dire trop de régions. Et vraiment on ne peut pas regarder le concept de région comme représentation juste ou équitable ou sur une commission de 20 régions différentes.
Alors ça c’est un autre type d’idée. Et je ne vois pas comment on peut diviser sur des points de vue linguistiques ou culturels. On aurait beaucoup trop de régions. Alors maintenant on doit regarder de ce qu’on a déjà quel est le point final, quelle est l’intention de ce processus et quelle est l’utilisation qu’on doit servir. Autrement on peut finir avec quelque chose qui est complètement logique du point de vue de l’analyse mais qui n’est pas du tout utile du point d’ICANN.
Pour Cheryl : Merci de ça Allan. Et avant que je donne le mot aux français avec les conséquences sans intentions. Alors ces actions sont très importantes pour n’avoir pas trop de confusion. Mais on peut explorer ces questions et voir qu’elle est plus utile comme les niveaux plus hauts, moins hauts et surtout ce qu’on doit faire comme le président de eLAC. C’est pas seulement les régions dans notre organisation at large qui peuvent avoir – être affectées par ces changements mais c’est toutes les régions.
Et je suis contente que maintenant (Nom) et Garrison (ph) sont venus du Nord Amérique qui est dans une position (inaudible), mais on vous remercie. Et on est intéressés plutôt à une vision plus globale et de voir ces opinions et ces discussions, évidemment, de toutes les régions et entre toutes les régions aussi. Ça c’est quelque chose qu’on doit peut-être discuter quand on est le dimanche à Séoul.
Maintenant Tijani ou l’autre qui voulait parler. Je pense c’est Hawa.
Interprète : Yes. Let me ask them. Somebody had a question, Cheryl.
Yes. Thank you. Quelle est votre question? Qui veut parler maintenant? C’était Hawa? Allô? C’est qui parle?
Hawa : Oui. (Inaudible) c’est Hawa.
Interprète : Okay. Hawa speaks now.
Parle. Parle Hawa.
Hawa : Okay. Merci. Et je remercie toute l’assemblée sur la pertinence de la question. Elle est assez importante. Mais j’ai quelques soucis en essayant de revoir encore (inaudible) des positions des régions par rapport à l’ONU et par rapport aux régions des Nations Unies, est-ce que cela ne poserait pas d’autres intérêts, des problèmes de conflit d’intérêts plus tard dans l’organisation (inaudible) de l’État. Ça c’est le soucis que je me pose par rapport à cette question. Merci.
Interprète :Pour Cheryl : Merci Hawa. Est-ce que vous pourriez, et des autres, est-ce que vous pouvez me dire quels sont les conflits que – vous faites référence à quels conflits? Je voudrais que vous pourriez m’expliquer un peu plus clairement. Merci Hawa.
Interprète : Hawa, parlez s’il vous plait.
Hawa : Oui. Conflit d’intérêts, par exemple, un pays qui se trouve en Afrique, qui va – qui est dans l’Union européenne, comme la (inaudible). L’intérêt qu’il a aussi (inaudible) au niveau de l’Afrique en tant que région de l’Afrique et les intérêts en le voyant comme membre de l’Union européenne. C’est des genres de conflits qui peuvent arriver. Et puis finalement, c’est au pays de choisir quelle région ils vont faire partie. Et ça peut favoriser certains et défavoriser d’autres.
Interprète :Pour Cheryl : Alors merci. Je me demande, dit Cheryl, il y a un écho. Est-ce que vous pouvez faire « muet »? Si on peut analyser du côté arabe... Il y a un écho. Alors il faut faire *6 pour mettre sur « muet » s’il vous plaît.
Quelle sorte de ces questions – merci, c’est beaucoup mieux – de ces questions pourraient être discutées et peut-être les groupes de travail pourraient faire une approche au at large ou les autres membres de la communauté pour pouvoir, peut-être, formuler une série de questions qui ne vient pas seulement du groupe de travail mais aussi des autres. Pas seulement les groupes de travail. Est-ce que vous avez des réactions sur ça?
Pour participant non-identifié : Alors merci Cheryl. Je pense que – c’est un des anglais qui dit brièvement, ça c’est la raison d’avoir des forums de remarques, de commentaires en ligne. Mais l’autre véhicule se sont les représentants de chacune des organisations de soutien et des comités de conseil, sont des conduits, des tuyaux pour ça.
Alors ça peut être vraiment effectif ça. Pour ceux d’entre vous qui avez fait une révision du rapport initial, par exemple, il y a 25 questions séparées et différentes pour ce qui concerne les régions géographiques. Et les groupes de travail ont recueilli tout ça. Et dans ce rapport au moitié, ce sera beaucoup plus haut comme niveau que celui du rapport initial, pour ce qui concerne celui de chercher de répondre à ces questions de manière substantive.
Les contributions des régions sont sur la question, par exemple, d’ICANN qui va conformer au standard international global. Alors les questions qui doivent être considérées, dit-il, sont beaucoup plus étendues que ça. Certains des sujets dont on a parlé maintenant sont des questions qui doivent être en commun; les questions culturelles et quelle est la participation comme linguistique. Et comme Allan aussi dit, quelles sont les implication que ça peut avoir de manière plus globale dans les structures régionales.
Alors je crois que certaines des personnes qui sont présentes ici et dans la communauté at large ont beaucoup d’expertise et de connaissance qui peuvent nous – qui peuvent participer à travers, par exemple, votre – vos participations dans les groupes de travail de Carlton, etc. Mais ce groupe de travail ou des autres peuvent être un peu préparés pour être prêts à ce rapport au milieu. Parce qu’on aura beaucoup plus de remarques que la seule remarque qu’on a eue dans la première présentation initiale du rapport.
Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Une des choses que je voudrais explorer vers la fin de cette réunion c’est comment on pourrait faire des autres plannings et des étapes comme pour les points finaux.
Alors ce que je voudrais, je voudrais demander à la région Nord Amérique, Allan a déjà parlé. Mais peut-être un du groupe nord-américain. Évidemment, Allan peut toujours participer. Mais je voudrais bien avoir des réactions du côté nord-américain. Si vous avez, par exemple, quelques groupes des îles qui sont géographiquement à distance de vous. Alors vous – c’est ça que vous ne comprenez pas parce que vous avez aussi des régions géographiques comme distance.
Alors en écoutant ces questions qu’on est en train de discuter, une analyse merveilleuse qui a été mise dans le rapport initial, je voudrais avoir un sens de la cohésion et la géographie, comment on pourrait répondre à ces questions, ces régions géographiques, et si on doit les changer ou non, évidemment.
Alors peut-être dans leur (inaudible). Dans les – à Séoul, dans les réunions face-à-face, si on doit discuter ça.
Interprète : Elle est en train de demander aux Nord Amérique.
Alors je pense qu’il y a quelqu’un avec la main levée.
Pour participant non-identifié : Moi j’étais ici pour entendre, vous avez dit que le Nord Amérique n’est pas tellement cohésive. On dit que les États-Unis et le Canada, on travaille très bien ensemble. Alors vraiment moi j’étais ici pour écouter.
Interprète : Elle du Nord Amérique cette dame.
Pour participant non-identifié : ...de savoir comment fonctionnent les autres régions. Parce que nous avons déjà une bonne entente entre les États-Unis et le Canada.
Interprète : Alors ça c’était – je pense que c’est Allan ou un des anglais.
Pour participant non-identifié : Je pense qu’on est en train de parler de Hawaï. Nous sommes déjà avalés par le Nord Amérique, dit Hawaï. Alors nous sommes assez consistants. Mais nous avons beaucoup de – nous nous sentons partie aussi de l’Asie Pacifique à Hawaï, qui est très alignée avec l’Asie vraiment et les îles ici.
Mais du point de vue politique, on est tellement habitués à être américains et considérés comme partie du Nord Amérique, même si nous sommes un peu sensibles au côté Asie et Pacifique. On doit – quelquefois on est catégorisé. Mais du point de vue politique et tout ça et culturel, peut-être ça sera un peu difficile.
Pour Cheryl : Alors Cheryl dit, c’est très facile. Par exemple je me dis que ça pourrait être tellement implicite. Mais on – c’est pas qu’on doit mettre toues les îles ensemble, évidemment.
Pour participant non-identifié : Mais, il répond, du point de vue des (inaudible), là nous sommes sensibles aux questions indigènes. Et puisque c’est un peu unique, pas seulement nous comme île mais aux autres cultures indigènes dans d’autres régions qui sont un peu plus sensibles, qui ne sont pas exactement la sensibilité nord-américaine, évidemment.
[Pour Cheryl} : Alors Cheryl dit, il y a des choses très importantes dans les prochaines étapes. Mais Allan veut parler. Pour Allan : Je crois que c’est très important, Allan parle après l’autre en anglais. Il faut penser que ce n’est pas une dimension. On va trouver toujours qu’un groupe ou l’autre peut être partie d’un groupe x ou un groupe y.
Quand on a commencé la région nord-américaine, on a dit, est-ce qu’on devait faire les choses en espagnol parce que nous avons l’île de Porto Rico? Il y aura toujours des raisons pour favoriser une place ou l’autre. Mais à la fin on doit faire une décision. Et pour toutes nos associations, ça va être inclus. Alors évidemment, je ne...
Pour Cheryl : Cheryl dit, nous avons des régions qui sont très culturellement importantes et spécifiques.
Pour un participant non-identifié : Maintenant un autre des anglais parle. Il dit, certaines des îles qui parlent l’anglais dans les Caraïbes avaient le but qu’elles étaient plus alignées avec les régions nord-américaines, pas avec celles du Sud Amérique. Alors vous savez, c’est une question culturelle aussi.
Pour Michelle : Michelle dit, oui, (inaudible) Carlton Ici, je pense que j’ai la confiance que j’ai déjà vu ça par écrit C’est vrai. C’est vrai, il y en avait des îles qui parlaient l’anglais, qui voulaient faire partie du Nord Amérique.
Pour participant non-identifié : Alors il répond, c’est une région – on cherche d’être le plus cohésif possible. Mais il y a – c’est principalement l’anglais. Mais il y a aussi du français, évidemment. Mais le commentaire qu’Allan a fait sur les questions, on connaît qu’il y a des questions un peu particulières à chaque région.
Pour Cheryl : Alors Cheryl dit, comme le secrétariat a – comme secrétaire de... Je pense qu’elle a dit AFRALO, si vous avez une réaction, vous avez déjà entendu parler des caraïbes.
Pour Didier : Je pense que c’est Didier. Il dit, je pense, pour ce qui concerne les Caraïbes, c’était une question un peu privée. Je ne veux pas parler comme secrétariat. Je pense que nous nous trouvons, dès qu’on ne parle plus anglais, pour les îles qui parlent l’anglais et qui font partie du CARICOM, qui est un groupe des Caraïbes pour les régions – cette région. Nous sommes plus alignés au Nord Amérique, c’est vrai. Mais c’est seulement pour une question de la langue et aussi parce que, les petites îles, nous sommes des petites îles. Parce qu’on pourrait être un peu – que ce serait un peu difficile pour nous le Sud Amérique parce que c’est pas qu’on parle tellement l’espagnol. C’est ça.
Pour Cheryl : Et je me demande, Rob, dit Cheryl, si ça c’est quelque chose... Je deviens un peu excitée quand je cherche de mettre les gens dans les chambres et on fait l’exploration des hypothèses. Mais peut-être que ça pourrait être un sujet pour un autre type de groupe de travail ou d’activité de workshop. Quand on est en – on peut explorer de point vue physique et qu’on cherche d’éviter les problèmes sociologiques et les sensitivités. Parce qu’évidemment, il y en a toujours, dans ce domaine, qui vont se soulever.
Peut-être qu’on pourrait faire des assomptions et explorer certains de ces scénarios, de ces principes, dit Cheryl, parce que je trouve qu’il y a un niveau, et je dis – je ne veux pas le dire comme superficialité dérogatoire, mais ce qu’on risque et ce que j’entends de ces conversations maintenant. Parce qu’il serait facile de dire développons tous les groupes qui sont – qui parlent anglais, par exemple ou français ou celui du Pacifique. Mais il y a beaucoup plus de questions beaucoup plus complexes en-dessous de tout ça.
Alors quand on fait les programmations futures, peut-être qu’on peut discuter certaines de ces questions et explorer ces possibilités dans des groupes de travail.
Pour participant non-identifié : Je pense que c’est une très bonne idée, dit un des autres anglais. Une des contributions clés des membres des groupes de travail c’est d’identifier les manières un peu moins traditionnelles d’avoir des réactions et des remarques. On a observé, avec le rapport initial, par exemple, qu’il y a certainement une place pour avoir des remarques écrites. Mais il y a aussi des autres places qu’on peut avoir des réactions verbales.
Un autre point dont je voulais m’assurer, où les participants – que les participants connaissaient du point de vue de – des directions. Les groupes de travail ont fait un très bon travail dans – c’était assez bref dans le rapport. Mais ils ont bien pensé à ça. Et la considération de ces groupes de travail sur comment ICANN a des régions géographiques et comment elles sont appliquées, ça c’est un aspect très important quand quelqu’un commence à parler : « Moi je voudrais voir une région séparée, » pour cette raison ou cette autre raison. Et ça reprend la raison principale qu’ils sont utilisés. Et ça c’est un élément très important.
Alors ceux de vous qui n’avez pas eu la possibilité de voir le rapport initial; ils ont identifié très régions différentes où les régions sont très importantes et où elles sont utilisées par ICANN pour raison de représentation. C’est-à-dire pour du point de vue des élections et aussi – et pour créer un mécanisme pour les organisations diverses et les structures ICANN.
Ils sont utilisés aussi pour relancer la participation. Et ça c’est un élément très important. On (inaudible) avant avec ICANN. Et ils sont utilisés aussi du point de vue opérationnel pour se concentrer avec les ressources et s’assurer qu’ils sont partagés de manière juste ou au moins qu’ils sont dirigés d’un point de vue stratégique et sont bien dirigés.
Alors toutes ces considérations sont importantes. Comme ça tous les gens qui participent dans ces discussions doivent comprendre tout ça. Et les participants dans cet appel peuvent donner à Cheryl ou Carlton. Ça sera très utile dans les discussions des groupes de travail.
Pour Cheryl : Merci Rob, dit Cheryl. S’il y a quelqu’un qui a des réponses? Du côté français, est-ce que vous avez des remarques ou quelqu’un veut – a quelques remarques à faire ici du côté français sur ce sujet?
Interprète : Ça c’est l’interprète : nous n’avons personne ici. Je demande aux français – I am asking them now. Thank you Cheryl.
Est-ce que quelqu’un veut répondre à ça? Un de vous? Tijani, Didier ou Hawa? Allô?
Cheryl, I can’t tell if anybody is on…
Tijani : Tijani.
Interprète : Un moment. Tijani has something to say. Okay.
Tijani : Oui. Alors la révision...
Interprète : Un instant Tijani. Je crois seulement que c’est la question de « muet ». Quelqu’un – il y a... Okay. Alors continuez Tijani. Tijani ?
Tijani : Oui. Alors la révision des régions ICANN a été posée parce qu’il y avait un problème. Les gens ont senti qu’il y avait un problème. Et...
Interprète : Quel problème?
Tijani : Bien écoutez, les premiers qui ont commencé à poser les problèmes c’était (inaudible). Donc ce n’est pas quelque chose qui tombe du ciel. Si un groupe de travail a été créé, c’est parce que réellement il y a un besoin qui a été senti pour qu’une révision ait lieu.
Donc le travail qui a été fait par les groupes de travail est magnifique parce qu’il a commencé à un petit peu baliser le chemin. Mais il a commencé d’abord à identifier les régions et comment elles sont utilisées à ICANN. C’est déjà un travail énorme. Et je pense qu’il ne faut pas avoir peur des changements. Il y a besoin de changer et il ne faut pas avoir peur.
Bien sûr, il n’est pas question de fragmenter les régions de manière à avoir 36 000 régions et comme ça se serait impossible de gérer. Mais il s’agit de trouver – trouver le bon changement là où il le faut. Et je pense que – l’essentiel de ce que je veux dire c’est qu’il ne faut pas avoir peur de ce changement. Parce que j’ai senti qu’il y a une réticence au changement.
Interprète : Merci Tijani.
Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Vous voulez mettre sur « muet » parce qu’il y a l’écho, s’il vous plaît? *6. Parce que l’analyse des... Ah parfait dit Cheryl. C’est bien que le conseil ICANN a pu entendre ça. Quelqu’un n’a pas mis sur « muet ». Il faut faire *6 s’il vous plaît. Alors nous ne sommes pas mariés avoir seulement cinq régions, dit Cheryl. Alors évidemment, on doit faire face au changement. Et comme dit Allan, il faut regarder les conséquences. S’il vous plaît, mettre sur « muet » autrement il y a un écho. C’est très dur, c’est difficile... Ah, merci.
Okay. Alors, dit Cheryl, s’il y a l’accord avec tout le monde qui est dans les régions, je pense que ça peut être très utile de soulever maintenant la question de ceux de nous qui nous sommes déjà bien représentés ou avons la capacité d’être représentés dans le processus ICANN, mais qui ne sont pas sur l’Internet. Donc c’est-à-dire qui ne sont pas dans des grands nombres. Et ça nous porte aussi à la question du financier et des divisions économiques.
Évidemment, il y a des économies qui sont plus développées, qui peuvent avoir un effet sur les différentes régions. Alors on cherche de soulever ça dans nos discussions, dit Cheryl, et dans des rapports aussi. C’est quelque chose qu’on doit – on doit faire face à ça avec les réactions du League Arab et aussi des questions des états des îles entre la – l’organisation at large régionale d’Asie Pacifique.
Évidemment, quand on a beaucoup d’eau entre une île ou l’autre, c’est pas toujours facile d’avoir l’accès à l’Internet et avoir des fournisseurs. Et là, on peut dire la même chose, par exemple, dans les – certaines parties d’Afrique et d’Asie Pacifique et où il y a beaucoup d’utilisateurs Internet.
On a besoin, certainement, dit Cheryl, comme on a rationalisé notre identification entre ICANN des régions géographiques. On doit voir comment ces voies sont confondues et les soins qu’on doit avoir, et on doit les écouter. Alors c’est un rôle basé sur le résultat du processus de révision de la commission at large qui peut intéresser des domaines particuliers.
Alors Nick, peut-être on pourrait demander ça sur le fond de manière que Rob peut répondre à ça. Est-ce que c’est possible?
Pour Dave : Il y a une question que je voudrais soulever : l’article numéro 5, celui d’élancer la diversité, il a lu ça. Vous pouvez... Qu’est-ce que vous voulez dire avec « la participation comme objectif »?
Pour participant non-identifié : Rob, je vais parler avec vous parce qu'en principe, mais il faut – moi je dois compter sur le point... Mon écouteur. C’est-à-dire sur le téléphone parce qu’elle n’a pas – elle a seulement 64 bits en ce moment, pour les prochains deux jours, je crois.
Pour participant non-identifié : Alors un des anglais a répondu, la méthodologie pour la troisième section c’est d’avoir de la réaction des organisations de soutien. Numéro 5 : parler des réactions du gNSO si vous créez une série de principes. Alors quand vous voyez le sujet « Principe général » ils pensaient...
Ils avaient la préoccupation, dans le cas de certaines des constituantes, dans les groupes gNSO, ils ont des problèmes de remplir leur position du point de vue régional. Alors peut-être, et je suis en train seulement de deviner, mais si on cherche de répondre à des principes régionaux de manière simple, moi je n’ai pas créé ces principes du gNSO, alors je ne peux pas vous donner d’autres détails. Mais il faut le rendre le plus simple.
Pour Cheryl : Alors on doit explorer ça, dit Cheryl.
Allan, est-ce que votre question est sur ce sujet? Si ce n’est pas... Non.
Pour Allan : Allan dit, ma question c’était une réaction de votre déclaration sur la difficulté d’accès.
Pour Cheryl : Alors on va demander aux espagnols s’il y a quelqu’un qui veut répondre ou qui a une remarque du côté espagnol.
Pour participant non-identifié : Oui. Je voulais m’excuser. Je ne pouvais pas être ici avant mais j’étais en train d’écouter sur le côté anglais et je ne savais pas qu’on avait un côté espagnol. Alors je voudrais avoir un sommaire, une synthèse quand je suis venu. Parce que je pense que c’était très important, qu’on ne doit pas avoir peur de créer des divisions aux plus de cinq régions (inaudible) le travail.
Mais pas seulement ça. Mais on doit être concernés pas seulement par les langues mais Cheryl nous a demandé de participer en anglais. Mais ceux de nous qui ne parlent pas anglais avaient peur de communiquer et de nous exprimer en anglais. Et certaines personnes ne peuvent pas le faire, n’ont pas la capacité ou ne parlent pas l’anglais. Mais c’est très important que ça ne doit pas être une question de la langue, mais c’est aussi une question de culture.
Au Sud Amérique nous avons les régions de Caraïbes et Sud Amérique. Et entre ces deux régions, nous n’avons pas seulement – nous ne sommes pas seulement divisés par la langue anglaise mais aussi par des arrières culturels. Nous sommes complètement différents les uns des autres. Alors je voudrais éclairer que je fais ces commentaires de la partie seulement personnelle. Et je pense que nous avons – nous devons chercher de communiquer entre nous mêmes.
Alors je crois personnellement que ça sera de grande valeur si nous avons d’autres régions dans ces différentes divisions. (Inaudible) que c’est seulement une question de langue mais aussi des questions des aspects culturels. Pour ce qui concerne la langue, je suis un peu préoccupé mais...
Pour ce qui concerne les caractéristiques des nouveaux candidats qui veulent participer à eLAC, 1.8, l’article 1.8 où les personnes qui veulent avoir une position en eLAC doivent parler l’anglais soit écrit et oral. Mais ça a été agréé ou approuvé. Mais si on doit avoir ces paramètres qu’on doit chercher d’avoir plus de participation, je pense que c’est pas vraiment absolument nécessaire ce manque de confiance là-dedans.
Cheryl va répondre si vous voulez répondre quelqu’un d’autre aussi.
Pour participant non-identifié : C’est très important d’(inaudible) de reconnaître qu’ICANN travaille dans la langue prédominante d’anglais. Mais comme une question de principe et pour engager la participation publique ou avec plus d’efforts, évidemment, on cherche de faire certaines – on fait des pas pour chercher d’affronter, de faire face à, par exemple, la politique de la documentation. Et on vient d’avoir des remarques sur ce sujet où il y a, par exemple, une – il y a un outil très utile et une – c’est-à-dire une discussion sur l’Internet, un espèce de bulletin board ou de place où on peut faire des remarques pour ICANN, et ICANN cherche de le mettre – d’avoir plus d’une langue. Alors ça...
eLAC, comme un comité de conseil, les 15 personnes qui participent dans le comité sur la commission d’ICANN ont aussi déclaré que l’anglais parlé et écrit est une assistance pour assurer que le travail d’eLAC soit fait de manière efficace et aussi sans dépenser des sommes énormes. Ça, c’est un des points que – dans les règles eLAC. Ça c’est très différent que celui de demander la participation régionale et la participation publique qui doit absolument, dans ma vision et aussi dans le point de vue des autres, d’avoir être fait qui permet l’accès facile avec les langues plus locales et l’utilisation de langues plus simples et plus ouvertes.
Allan a des choses à dire. Si vous lisez la révision externe, le rapport de la commission, la commission de eLAC, ils utilisent le (inaudible). Ils nous disent, pour le moment c’est très important que les membres d’eLAC ont une capacité de parler et d’écrire l’anglais.
Alors ça c’est une déclaration de la réalité; les membres de eLAC doivent avoir une interaction avec les autres parties d’ICANN. Ils doivent être dans des comités et travailler intimement avec les autres parties d’ICANN et agir et faire face entre ICANN et les régions. Il faut faire ça, juste au moment où ICANN peut travailler dans toutes les langues des États-Unis avec la traduction ou l’interprétation simultanée de tous les documents, de toutes les réunions. Alors les membres d’eLAC doivent participer dans ces règles.
Si on change ça, ça va changer toute la position. Mais si quelqu’un ne peut pas participer avec le reste d’ICANN ou avec les autres réunions d’ICANN qui sont toutes en anglais, alors ils font du mal à leur région. C’est pour ça qu’on a – ils avaient insisté sur ça. Ça c’est la logique où on a mis ça dans la révision qu’on avait faite et qu’on a implémenté de suivre cette politique. Seulement pour ces raisons de l’interaction.
En revenant à l’autre question, dans certaines régions, il y a des personnes qui ont de grandes difficultés à avoir accès à l’Internet et qui n’ont pas les capacités. Il y a beaucoup de problèmes. Alors évidemment il y a des problèmes en Afrique qu’on peut identifier. Ce que vous me dites aussi, au-dehors de Sydney l’accès à l’Internet est presque impossible. Et Cheryl est en train de rire. Oui. Il n’y a pas de région, à part celles d’ICANN, qui n’ont pas des parties de leur population qui n’ont pas accès. Il y a toujours des parties. En Europe et en Nord Amérique, c’est un peu moins. Mais dans des autres parties du monde, c’est beaucoup plus large.
Il faut se rappeler qu’ICANN doit considérer ça et le facturer dans toutes ses considérations, et ne pas prétendre que tout le monde a accès à l’Internet broadband et un accès à l’Internet illimité. Mais ce n’est pas seulement une question régionale. C’est vrai que c’est plus en problème en Afrique du Nord qu’en Amérique du Nord. Mais il ne faut pas penser que c’est seulement les personnes qui ont – les plus avantagées, les (inaudible) 30 pour cent. C’est pas seulement dans un pays ou l’autre.
Pour Cheryl : Alors Cheryl répond, oui. Je pense que tout le monde est en train de vous faire une (inaudible).
Pour Allan : C’est très bien dit sur le chat, dit Allan. Ça c’est très important de...
Pour Cheryl : C’est pas seulement question de géographie, dit Cheryl. Mais une des choses qui peut donner de la tension ou une motivation de regarder les changements géographiques (inaudible). Et comme vous...
Pour Allan : Je pense que c’est Allan qui dit, moi j’ai travaillé beaucoup avec les pays en développement avec l’utilisation de la technologie. Vous pouvez aller n’importe où; ça peut être la Suède ou Kenya, et ils vont vous dire qu’ils sont tellement différents du reste du monde. Et moi j’ai trouvé, au contraire, que c’est beaucoup plus commun, que ce soit Kenya ou les Suédois que les différences.
Pour Cheryl : Alors c’est une question de participation, des pouvoirs de participation aussi, dit Cheryl, qui était en train de...
Je regarde maintenant l’heure et aussi je dois faire un voyage de cinq heures. Alors je voudrais m’assurer que cet appel reste à une heure. Et ce que je voudrais faire maintenant, du côté français et espagnol, est-ce qu’il y a des questions dont vous voulez – que vous voulez soulever qui doivent être soulevées maintenant? On commence avec les espagnols. S’il y a quelqu’un qui voudrait parler du côté espagnol? Ils... Il n’y a pas de réponse mais il faut toujours un peu de temps.
Oui, oui. Quelqu’un est en train.
Interprète Alors ça c’est le côté espagnol, l’interprète, et ça c’est leurs remarques.
Pour participant non-identifié : Cette personne qui était en train de parler, est-ce que c’était Nick?
Pour Cheryl : Non. C’était Allan, dit Cheryl.
Pour participant non-identifié : Alors Allan. Je suis d’accord, dit l’espagnol, pour ce qui concerne la clarification. Ma remarque c’était seulement d’incorporer dans (inaudible) parce que c’est important de parler du sujet de la langue. Mais je suis d’accord que pour le moment, pour le moment l’anglais est la langue commune et, évidemment, on travaille entre ces paramètres aussi. Je suis d’accord avec ça. C’est tout.
Interprète : Yes. Let me ask them.
\ Les français, quelqu’un a une remarque? Quelqu’un veut dire quelque chose? Il faut vous rappeler de mettre *7 parce que maintenant c’est sur « muet ». Quelqu’un a une question? Personne? Personne? Tijani, Didier ou Hawa veulent dire quelque chose ou non?
Hawa : (Inaudible).
Interprète : C’est qui ça?
Hawa : C’est Hawa.
Interprète : C’est Hawa. Alors parlez Hawa.
Hawa : Okay. Donc toujours par rapport aux questions de langue, je soutiens un peu l’hypothèse de Cyril, le fait que les membres d’eLAC doivent parler l’anglais. Mais nous sommes dans une région où vraiment ceux qui parlent l’anglais sont moins motivés à la participation. Donc si nous devons mettre des exclusions, ça va faire encore moins de participation par rapport à – au niveau de nos régions. Donc il faut maintenir un peu encre les traductions pour que les gens soient plus actifs dans les discussions avec eLAC. Et en mettant la langue comme critère, ça va nous faire encore moins de participants.
Et l’objectif de l’ICANN, je pense, dans un dernier temps, c’est vraiment d’encourager la participation. Donc en encourageant la participation, si vous bloquez encore la (inaudible) de langue, vous allez freiner encore ce processus de participation. Je vous remercie.
Interprète :Pour Cheryl : Merci Hawa, dit Cheryl. Oui, ça c’est quelque chose qu’eLAC et les régions doivent travailler et rappeler aux gens de tout ça. Et peut-être le – l’avantage... Ceux qui sont plus avantagés et qui ont plus d’expérience dans ICANN, ils savent que ce sont des questions qui doivent – ils doivent parler de ça.
Pour Allan : Allan dit, je voudrais noter aussi que dans le rapport eLAC qui parle de la langue anglaise pour eLAC, mais il a fait une déclaration très forte mais qu’ICANN doit faire beaucoup plus et beaucoup de volume pour ce qui concerne la sensitivité, la quantité, la qualité pour ce qui concerne l’interprétation et les traductions. Absolument. Et en regardant dans les rapports qui ont été publiés pour les remarques publiques, il y a un grand délai, même avec le français et l’espagnol, mais aussi je vois que c’est – je suis sûr que c’est quelque chose, c’est épouvantable les délais. Alors je voudrais que toutes les langues soient traitées de la même manière.
Mais je pense que ce sera une lutte en continuation. Au moins si on peut avoir les autres, le français et l’espagnol.
Pour Cheryl : Et maintenant, quand on commence à arriver et parler des représentants qui sont ici dans cet appel pour s’assurer qu’on ramène tout ça au groupe de travail, dit Cheryl. Je pense que ce type de conversation et certains des concepts qui ont été – dont on a parlé, parce que c’est presque une heure, je pense que c’est très important et très instructif. Je trouve, dit Cheryl, que c’est un exercice qui a une signification. Et on doit avoir des réunions face-à-face dimanche à Séoul. Et pour cette raison je vais demander aux représentants régionaux de demander aux régions et aussi les autres participants, s’ils sont d’accord avec moi, qu’on doit absolument avoir une – les régions géographiques et qu’on doit parler des – du rapport du groupe de travail et qu’on devrait avoir cet exercice et de passer un peu de temps, peut-être avoir 45 ou 60 minutes de notre dimanche comme un de ces ordres du jour, de manière que quelqu’un qui participe dans le groupe géographique, nous seront là, mais peut-être certaines des autres langues, des autres groupes de travail, des autres membres pourraient participer dans ce workshop. Une espèce de mini-workshop.
Si c’est le cas, alors on pourrait le faire seulement le dimanche. Et on devrait chercher de trouver le temps. Ça c’est entre le 14 et le 23 de ce mois-ci où les groupes de travail peuvent regarder ça. Peut-être on peut l’ajouter sur l’ordre du jour du dimanche. Et on va demander ça au groupe de travail pour l’organiser. Et il faut chercher de le faire. Moi je ne sais pas quelles sont les nécessités du gNSO mais je préfère que vous soyez là avec nous, je pense.
Je pense que je serai là pour toutes les places. Mais mon commentaire c’est pas seulement question des régions pour discuter ça.
Pour Steve (question) : Mais si c’est important et (inaudible), dit Steve, qu’on doit le faire là au lieu d’autre. Parce que si on – même si c’est (inaudible) de cinq minutes, ça sera en place de quelque chose d’autre.
Pour Cheryl : Mais malheureusement, dit Cheryl, oui, on a tellement de meetings, de réunions à Séoul et à Nairobi, par exemple il y aura le rapport de ce groupe de travail. Alors ça sera une opportunité de préparer et de voir ce qu’on pourra faire dans le prochain rapport (inaudible) la conversation qu’on vient d’avoir aujourd’hui. Parce que, évidemment, on aura des intérêts particuliers en ce sujet.
Alors en terminant je voudrais dire, premièrement, quelquefois il y a la diversité, les tensions entre n’importe quels types de structures. Par exemple, cinq, sept ou onze structures régionales, géographiques ou bien culturelles peut être très utile quand même. Dans le sens que certains de nous, dans la région Asie Pacifique, comme on l’a déjà mentionné, nous avons une diversité énorme de langues. Et évidemment, tout doit travailler en (inaudible) parce qu’aucun de nous ne parle...
Par exemple on a, par exemple, 12 ou 15 dialectes différents alors on doit travailler dans notre deuxième langue, au moins qu’on ne vienne pas des antipodes, (inaudible), c’est notre première langue. Mais quel que soit, ça produit des forces et des avantages aussi. Et ça nous a permis au moins d’avoir des résultats qui ont eu un avantage au lieu d’un manque d’avantage. Alors il faut penser à ça. Il faut penser au plus, pas seulement au moins.
Alors je veux vous remercier à tout le monde de votre temps, de votre participation, que ce soit le matin ou le soir. Et alors j’attends d’avoir vos réactions des régions. Alors même si on n’a pas le temps de le faire le dimanche à notre réunion à Séoul, c’est un sujet que les régions et les (inaudible) peut-être voulaient préparer pour avoir des remarques. Et je pense que j’ai parlé du – de la part de Carlton et de moi-même et de Rob, et peut-être des autres régions et des groupes. Nous serons bien contents d’avoir des discussions à ce sujet dans le futur, au moins du côté régional si on n’a pas le temps de le faire at large.
Alors j’espère que j’ai présenté bien.
Pour Rob : Mais Rob dit, merci Cheryl.
Pour Cheryl : Je ne veux pas – je veux remercier Rob et tout le monde. Et ce que je veux faire aussi, dit Cheryl, je veux m’assurer aussi qu’on a les diapositives qui sont beaucoup plus utiles que cette espèce de présentation que j’ai maintenant. Alors on va le mettre sur le Wikie de manière que les chefs régionaux peuvent avoir accès à ça.
Alors merci à tout le monde. À bien... Thank you. Thank you. Merci à tout le monde et au revoir et nous – beaucoup d’appréciation. Au revoir. Au revoir au côté français. Aussi.