Interprète : Pour participant non-identifié : ...et pour l’implémentation du groupe de travail. Alors Seth, est-ce que vous pouvez nous parler quelques – dire quelques mots?

Pour Seth : Merci (Nom). Je suis très vraiment frappé de faire partie de ce groupe ALAC. Très content. J’ai commencé seulement la semaine dernière. Je vous demande votre indulgence. J’espère être au point plutôt tôt qu’en retard.

Pour Cheryl : Et Cheryl dit qu’il va être annoncé officiellement plus tard sur la liste aujourd’hui. Alors bienvenue Seth. Et ça c’est quelque chose, comme vous savez, vous allez – vous allez travailler avec tout le monde de nous. La chose merveilleuse de l’arrivée de Seth, et ça je veux le dire pour le procès-verbal, ça sera très intéressant pour Nairobi aussi, et il va travailler avec nous en ligne à distance avec beaucoup de considération. Et je veux dire, de ma perspective, c’est vraiment merveilleux de l’avoir avec nous et de la connaître face à face aussi un de ces jours. Est-ce que nous avons des remarques?

Pour Vanda : Sylvia regrette, du côté espagnol, qu’elle ne peut pas être là. Mais elle va chercher de revenir, d’y arriver.

Pour Cheryl : C’est Sylvia qui regrette. Merci Vanda.

Alors donc maintenant...

Interprète : Qui est arrivé? Excuse-me. The French interpreter here. Who just arrived? I didn’t get the name. Thank you. Alors Dave est arrivé.

Pour Cheryl : Merci bien, dit Cheryl. Et si Matthias peut tracer tous ceux qui arrivent depuis maintenant, on peut continuer. Ça sera peut-être approprié que les personnes qui sont en train d’appeler ou si on doit appeler un dial-out à Tijani. Si on ne fait plus l’annonce, on peut continuer avec notre ordre du jour.

Nous avons le meeting aujourd’hui, la réunion. Et je vous demande votre indulgence pour nous assurer que nous pouvons parler de tout le travail nécessaire. Mais il faut chercher de ne pas manquer les articles individuels, les sujets individuels.

Alors sur l’ordre du jour c’est – on va chercher de suivre, commencer si on n’a pas d’autres amendements ou bien changements à l’ordre du jour, on commence maintenant, dit Cheryl.

Donc je vois que personne n’est dans la chambre Adobe Connect. Est-ce qu’il y a quelqu’un du côté français ou espagnol qui veut présenter quelque chose pour l’ordre du jour?

Pour participant non-identifié : Est-ce qu’on peut, quelqu’un demande, avoir les links pour le chatroom Adobe?

Pour participant non-identifié : Ils sont en train d’arranger ça.

Pour participant non-identifié : Alors sans altération à l’ordre du jour, on a tout couvert et surtout la liste. Nous sommes maintenant, nous avons la liste.

Tijani : Tijani is hers. Il faut dire à Cheryl que je suis là parce qu’elle a dit qu’il faut m’appeler.

Interprète : Oui, oui. Je lui dis tout de suite.

Tijani : Voilà.

Interprète : Un instant.

Tijani : Okay.

Interprète : Alors je l’ai dit, Tijani. Il y a une réverbération épouvantable du côté français maintenant et du statique du côté anglais. Alors si vous pouvez mettre en « muet »... Ah oui, vous l’avez fait et c’est bien gentil de votre part.

Pour Cheryl : Alors Cheryl est en train de parler des structures, que Carlton va ajouter les constituants et aussi le personnel va travailler avec Carlos pour résoudre la manière de voter de Carlos. Est-ce qu’on a fait cette – on a eu le vote, demande Cheryl? Matthias, est-ce que vous êtes en « muet »?

Pour Matthias : Oui, dit Matthias. Il a pu voter.

Pour Cheryl : Alors, dit Cheryl, est-ce qu’on a eu des réactions sur le prochain article d’action et pourquoi on avait des questions sur les – les informations pour le vote? Il paraît qu’il y avait seulement des questions de communication. Mais le personnel a déjà résolu ça. Alors, Cheryl dit, la votation en ligne a déjà été faite et complétée. Et puis la liste des articles d’action dit qu’on va préparer une notation sur toutes les activités générales. Et je pense que je n’ai pas tout oublié, mais je pensais que c’était quelque chose qu’on devait parler dans notre réunion à Nairobi avec Sylvia et Siva (ph) qui préparent – devaient préparer une présentation brève à Nairobi. Mais si quelqu’un peut me dire que cette action, cet article doit être fait, dans mon opinion, ça, ça a déjà été enregistré et ça doit être changé.

Donc...

Interprète : Excuse-me. Could just repeat the last action item? Sorry Cheryl.

Pour Cheryl : Sylvia, avec l’action qui se réfère à Sylvia qui devait préparer une notation sur la réunion, on devait dire que c’était la réunion de Nairobi. Sylvia et Siva. Alors ça c’est déjà fait.

Interprète : Sur la réunion de Nairobi. Thank you.

Pour Cheryl : Alors donc elle continue, Cheryl maintenant : Maintenant on commence aux applications courantes d’ALAC pour voir aussi au sujet du Cameroun et un autre nom de El Salvador. Nous avons envoyé un courriel au Cameroun mais nous n’avons pas encore entendu. Je suggère qu’on fasse le suivi plus tard cette semaine. Et si on n’entend pas, alors on fera le possible.

Pour ce qui concerne la connexion El Salvador, on attend leur réaction. Ils sont en train de discuter l’application et on attend maintenant une présentation formelle.

Maintenant, dit Cheryl, alors maintenant, pour ce qui concerne la société Internet de Libéria, on a eu des informations à ce sujet, n’est-ce pas?

Pour participant non-identifié : Oui, on répond. Et il paraît qu’on est tout prêt de faire le vote aujourd’hui. Il paraît qu’on va l’envoyer en ligne tout de suite. Alors je dois aviser tout le personnel at large que vous aurez toute leur préparation pour la votation après cette réunion. Il faut contrôler tout de suite vos courriels après cette réunion pour voir l’invitation de toutes les applications ALS pour la société de Libéria, de ce chapitre de Libéria. Est-ce qu’on a besoin de... Je pense qu’on doit – on aura cinq jours pour voter.

Pour Cheryl : Maintenant, dit Cheryl, alors on va accepter ça dans le procès-verbal. Et maintenant, s’il y a des rapports des groupes de travail. Maintenant on va continuer à 18 minutes après l’heure on est déjà arrivés au business, à l’activité.

Je voudrais certainement prendre un moment pour remercier tout le monde, parce que ce qui se passe, je suis – j’ai vraiment hâte de remercier les leaders régionaux et les membres des liaisons de groupes de travail qui vraiment ont fait un travail magnifique parce qu’ils ont été vraiment responsables. Je pense que c’est une démarque victorieuse du travail. Alors maintenant Sébastien veut parler, dit Cheryl.

Pour Sébastien : Il y a un rapport et les nouvelles affaires pour ce qui concerne le plan stratégique accepté par la commission, dit Sébastien. Et il paraît qu’il y a un courriel ce matin et le personnel va donner leurs réactions et aussi nos remarques. Il y a un point, si je voudrais proposer peut-être, il y avait un projet et je suis un peu déçu que le projet n’a pas avancé.

Pour Cheryl : Sébastien, dit Cheryl, est-ce que vous demandiez d’avoir un article d’action dans cette réunion pour avoir la réaction dans la prochaine réunion ou bien dans la réunion de Nairobi?

Pour Sébastien : Sébastien répond : Vous savez, c’était une demande d’ALAC, parce qu’il y a longtemps, ce qui se passe avec nos remarques. Mais c’est une autre fois, de nouveau nous avons un nouveau document accepté par la commission et sans être informés quand est-ce qu’on va nous informer pour avoir nos remarques comme participation. Et je pense que ça serait un point très important, nécessaire.

Pour Cheryl : Alors Cheryl dit : Oui, je pense que nous devons avoir l’accès à toutes les personnes qui sont intéressées. Et peut-être sur le comité exécutif, sur leur ordre du jour, on peut faire ça à Nairobi. Ça sera un article d’action dont on doit parler, dit Cheryl. Et il faut nous aider à déterminer ça.

Pour participant non-identifié : Et l’autre des dames répond que Kévin va parler à Nairobi le jeudi à ce sujet.

Pour Cheryl : Ah bien ça c’est très bien, dit Cheryl. Alors je pense qu’on doit laisser encore plus de temps sur l’ordre du jour s’il y a certaines questions.

Donc alors maintenant les nouvelles affaires et décisions pour ce soir : La première question c’est le critère et le processus pour les candidats ALAC pour la position de volontaire ALC. On a à peu près 30, 40 minutes ce soir. Alors je voudrais, Mesdames et Messieurs, si vous voulez bien noter que moi j’ai 22 après l’heure, 22 minutes après l’heure. Alors on doit arriver à la partie de décision en 35 minutes à peu près d’ici.

Ce que vous avez devant vous sur votre ordre du jour c’est une présentation de l’engagement comme révision. Et c’est sur votre écran tout ça.

Pour ce qui concerne le processus qu’il faut suivre en parallèle avec le processus, ICANN a déjà commencé, comme vous le savez tous. Il est intéressé à voir les membres volontaires de l’équipe. Et la date pour la clôture de telle application... Qu’est-ce qu’on les appelle, dit Cheryl? La motivation – la motivationnelle a déjà été établie et changée justement avant minuit, malgré le fait que... Je pense que c’est le 7 mars, minuit. Alors ça, il y aura la clôture à cette date, le 7 mars, minuit. Et comme ça la commission et la secrétaire d’assistance des communications sera déjà sur la commission de révision pour la transparence et la responsabilité. Et puis du point de vue ALAC, il faut bien regarder un propos – premier propos qui a été émis la semaine dernière, de manière qu’ALAC soit le plus transparent et responsable possible.

Et, dit Cheryl, il faut voir quelles sont les décisions, pas seulement à la réunion ce soir pour ce qui concerne le processus, mais aussi l’interaction après la clôture à presque minuit le 7 mars. Parce que nous avons très peu de temps après ça de donner nos recommandations pour ce qui concerne les leaders qui feront les décisions. Et il faut voir combien de personnes vont être avancées.

Mais pour ce qui concerne la commission de conseil, ça sera – ils seront choisis par les directeurs de la commission. Nous ne pouvons pas contrôler ça. Mais nous pouvons donner nos recommandations.

Alan, dit Cheryl, est-ce que vous voulez parler maintenant? C’est à vous la parole.

Pour Alan : Alan dit : À ce point-ci les propositions disent qu’il y aura un représentant ALAC sur l’équipe. Des autres constituants aux autres groupes entre ICANN disent que la commission est trop petite et qu’on a besoin d’autres représentants. Peut-être...

Pour Cheryl : Mais on doit travailler avec ceux qu’on a déjà en ce moment, dit Cheryl.

Pour Alan : Évidemment, il répond.

Pour Cheryl : Et je voudrais dire une chose, dit Cheryl. La logistique dit que je n’ai pas de contrôle du tout dans les réunions Adobe. Je ne peux pas vous donner le droit de parler. Mais si vous avez – si je ne vous donne pas la permission de parler, c’est seulement que je ne – je ne sais pas de mon côté. Alors maintenant Alan veut parler. Alors... Non, non. Il y a un autre qui parlait. Alors Christopher commence.

Pour Christopher : Christopher : Bon après-midi, bonne soirée. Cheryl, je suis arrivé à l’appel parce que mon nom a été mentionné en ce contexte sur la liste d’Alan aussi. Si vous avez des remarques ou des questions, je suis ici. Mais comme président, Cheryl, si vous voulez que je ne dois pas être sur cet appel, que vous voulez parler en privé, vous n’avez qu’à me donner le signal.

Pour Cheryl : Non, Cheryl dit. Non, c’est – tout ce qu’on fait c’est complètement vu à travers la vitre. Alors vous ne devez pas laisser l’appel du tout. Mais je vous remercie, Christopher, de votre – vous êtes tellement honnête. Mais vous allez rester.

Pour Christopher : Je ne savais pas quelles étaient les règles, répond Christopher

Pour Cheryl : Alors Cheryl dit, alors on a noté, merci. Et maintenant à vous, Alan.

Pour Alan : Alors donc... Alors je veux arriver à l’écran correct. Ce qui a été identifié c’était des questions qui devaient être répondues avant d’arriver à un complet des règlements. Si on peut arriver à la clôture sur ce sujet, ça sera assez facile de pouvoir décider où on peut avance d’ici. Le processus sera beaucoup plus facile depuis qu’on a écrit ça parce qu’au lieu d’avoir le délai pour les applications hier, maintenant c’est le 7 mars. Alors ça, c’est le commencement de la réunion à Nairobi. Alors ça, ça nous donne encore du temps pour ou accepter les applications ou demander des applications et de les lire aussi et décider quel est le processus. Mais au moment qu’on a écrit ça, on pensait que le processus pour sélectionner quelqu’un devait commencer aujourd’hui et finir demain, ce qui n’est vraiment pas possible. Maintenant on a beaucoup plus de temps, heureusement.

Maintenant, il y a peut-être quelques questions qu’on a déjà couvertes quand on a commencé à discuté. Et moi, j’ai des réponses et je ne dis pas que je ne – ce sont les réponses correctes. Mais c’est pour commencer la discussion. Et je ne sais pas dans quel domaine je peux les mettre. Mais je peux les mettre sur le chat. Et si quelqu’un est plus préparé que moi, il pourrait les afficher, de manière qu’on puisse les voir plus facilement. Alors on va chercher absolument de copier et de les afficher. Mais j’espère que les lignes – je ne suis pas sûr que les lignes, comment ça fonctionne dans le chat maintenant. Mais peut-être j’aurais besoin d’un peu d’aide. Si je fais ça dans le chat direct, peut-être ça va marcher. Ça sera plus facile pour les gens.

Pour participant non-identifié : Alan, une autre des dames dit : j’ai lu la question. Ce sont des réponses, pas des questions ça. Des réponses possibles.

Pour participant non-identifié : Alors voyons si on peut donner à Alan encore la puissance. Il ne voulait pas encore de la puissance. Il voulait que quelqu’un d’autre fasse le travail.

Pour participant non-identifié : Je suis en train de mettre les réponses dans le chat ex-com aussi, dit un autre.

Pour Alan : Alors je vais lire les réponses jusqu’au moment qu’on peut les mettre sur l’écran, il répond. Je vais les lire. Alors une à a fois.

Pour Cheryl : Ça j’aimerais bien, dit Cheryl, de manière que tout le monde ait la possibilité de répondre. Si quelqu’un a une remarque sur ces points, soulevez la main. Ou si vous n’êtes pas – si vous êtes dans une autre langue, laissez-moi savoir et je vais vous reconnaître et donner la parole.

Pour Alan : Alors la première : Est-ce qu’on veut accepter toutes les applications qui veulent nous représenter? Alors les termes de la procédure de présentation, les applications doivent être soumises à ICANN. Les personnes qui représenteront les différentes ACS (question) ASO, ils doivent avoir la bénédiction, disons, des directeurs. Est-ce qu’on doit dire que n’importe qui qui fait l’application sera accepté ou bien est-ce qu’on doit donner notre acceptation à chaque candidat individuellement? On doit regarder en voyant ce que fera chaque candidat.

Alors une des indications de ce groupe qui le rend un peu plus clair que les autres c’est qu’un des membres est la secrétaire assistante de communication au département de commerce américain. Ça c’est un groupe vraiment très senior, très supérieur. Et je pense que le président du GAC ou son délégué sera là. Et nous ne voulons pas être dans la position où les gens, les personnes que nous présentons soient éliminées par les autres parce qu’elles ne sont pas vues comme leur – qu’ils sont sur le même niveau. On dirait que peut-être c’est pas juste. Mais je dois vous dire que ça c’est la vérité. Il faut voir, parce que ces gens sont vraiment préparés. Alors il faut discuter ça de manière que personne n’a trop de pouvoir.

Pour Cheryl : Alors Cheryl, ça c’est une discussion nécessaire. Et j’ai noté James et Carlton, dans la chambre chat. Alors James, si vous voulez donner – parler de ça pour le procès-verbal sur le chat et puis Carlton après, si vous voulez parler de ça. James, vos réactions?

Pour James : Qui représente ALAC et quelle sera la mission? Et qui sera la meilleure personne pour représenter ALAC, la communauté.

Interprète : Alors il y a beaucoup de bruit. C’est très difficile à entendre. On fait de notre mieux.

Pour Cheryl : Alors maintenant il paraît que – je vois des... Carlton, si vous voulez donner votre réaction.

Pour Carlton : Je suis d’accord avec Alan. On ne doit pas accepter toutes les applications. On doit s’assurer qu’ils sont – parce qu’il sera une équipe vraiment puissante. Il faut s’assurer que les représentants d’ALAC, je dis ALAC mais... Ça doit être quelqu’un qui peut vraiment être au niveau avec les gens qu’on s’attend.

Pour Cheryl : Merci Carlton, dit Cheryl. Maintenant Adam et après Alan.

Pour Adam : Alors je suis d’accord. On ne doit pas accepter toutes les applications et on doit accepter le programme normal que chaque RALO, s’il veut, de présenter le nom d’une personne. Et ça, ça nous permet peut-être c’est à peu près simple, à peu près. Peut-être pas tous les RALO vont présenter quelqu’un. Mais ça c’est une manière de donner notre acceptation du nom qui est présenté par un RALO. Et si on a une liste de ce type, peut-être il y aura plus d’une personne. En ce cas-ci, on aura le choix de sélectionner. Et aussi la raison c’est que le président du GAC et de la commission, ils doivent trouver une balance entre ces noms qui viennent de toute la communauté. Alors c’est une très bonne idée de leur donner quelque chose qui est balancé. Et aussi, pour ce qui concerne la commission de révision, que ce soit aussi des hommes et des femmes...

Je ne pense pas qu’on aura – doive penser au niveau tellement de haut niveau. Je ne pense pas que le secrétaire aura le temps de passer beaucoup de temps avec ça. Mais..

Pour Cheryl : Alors Alan, dit Cheryl.

Pour Alan : Adam a avancé un peu trop la question qu’on est en train de propose. Est-ce qu’on doit accepter ou sélectionner le gens ou accepter toute la gamme? Et ça – ça c’est déjà – il faut avoir plus d’informations qu’on a déjà. L’autre chose, il répond, en soutien de faire une espèce de triage.

Interprète : Maintenant j’ai une réverbération. Est-ce qu’on peut... Alors maintenant c’est parti.

Pour participant non-identifié : Okay. Alors là – pour ce qui concerne ALAC, on ne sait pas – on ne sait pas quelles sont les règles du comité. Avant que la commission de révision ait décidé, peut-être les équipes vont opérer en privé sans opportunité d’interaction entre leurs représentants. Et la SA ou le SO qui les choisit les accepte. Alors il faut choisir quelqu’un dans le scénario pire où il n’y a pas du tout de contact, et cette personne est jurée à être – rester secrète. On a confiance en elle de nous (inaudible). On ne sait pas quelles sont les règles mais on doit assumer que, dans le sortir, ça, ça sera des règles. Alors il faut choisir très – avec très – avec beaucoup d’attention.

Je vais parler de soumissions plus tard. Je ne suis pas d’accord avec tout ce qu’on a dit. Mais enfin...

Pour participant non-identifié : C’est une question très politique. Il faut avoir confiance en les personnes choisies. On a besoin de personnes qui doivent défendre nos positions, n’importe quelle que soit la position. Il faut pouvoir voir les débats et en même temps expliquer qu’il faut rester en contact. Et il ne faut pas faire seulement – agir soi-même sans avoir consultation.

Pour Cheryl : Alors Patrick maintenant, dit Cheryl.

Pour Patrick : Pour ce qui concerne la diversité régionale et le besoin des gens que nous pouvons avoir la confiance de faire un bon travail, à ce point-ci je ne chercherais pas... C’est important d’avoir une balance régionale. Mais on doit se concentrer d’avoir les personnes qui sont correctes, qui sont les mieux, même si on n’a pas tout le temps, en tout moment la diversité régionale qu’on voudrait avoir. Mais c’est mieux d’avoir les personnes qui sont les plus préparées.

Pour participant non-identifié : Alors un autre dit : Oui. C’est vrai. On doit faire une sélection.

Pour Cheryl : Et Cheryl dit la même chose. Il faut sélectionner. Ça c’est le résultat de cette discussion. Alors maintenant, le prochain point. Alan, dit Cheryl?

Interprète : Excuse-me, Cheryl, Tricia here, is this somebody not on « mute »? Because there is a lot of static on your side. Just make sure that whoever is not speaking is muted. Thank you. Yes. Yes. Okay. Thank you.

Pour Alan : Alors Alan : Oui. Donc la question : Combien est-ce qu’on peut identifier... Et je pense qu’on doit suggérer un nombre, un chiffre disons trois. Parce que maintenant...

: Pour Cheryl : Maintenant on a une interruption. Alors maintenant, Alan, je cherche de parler. Alors Adam, je vais revenir à vous. Mais maintenant c’est Alan.

Pour Alan : Alors je veux suggérer trois. Trois c’est le maximum qu’on va voir dans ce groupe. Deux c’est plus probable qu’on verra dans ce groupe. Mais on veut chercher, donner un peu de flexibilité des autres côtés. Je pense que trois c’est un chiffre plutôt bien choisi. Mais évidemment, peut-être on n’aura pas les trois candidats dont on a beaucoup de confiance. Alors je suggère que le groupe qui fait la sélection finale a la capacité d’être flexible. Mais en même temps on ne peut pas – veut pas donner trop de flexibilité aux sélectionneurs, les deux présidents, parce qu’on doit s’assurer qu’on a quelqu’un dans ce groupe dont on a confiance et qui va nous servir de manière exceptionnelle.

Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Alors pour ce qui concerne la suggestion des réactions régionales, évidemment, le maximum sera cinq. Voulez-vous répondre avant d’aller à...

Pour participant non-identifié : Les critères... Alors je vais laisser quelqu’un répondre.

Pour Alan (?) : Je pense qu’on doit – si on suggère le côté européen, il y a l’Asie Pacifique, et s’il y a peut-être... Il y a une raison d’avoir la diversité des différents participants. Je comprends que la personne doit être vraiment préparée. Mais c’est bien d’avoir aussi la diversité, que ce soit pas tous Européens ou pas tous Asie Pacifique. Enfin... Moi je dirais – je suis d’accord avec ce qu’Adam a dit. Je dis d’accord parce que vous auriez la diversité avec les personnes qui voudraient y arriver.

La prochaine question sera... Je pense qu’on doit avoir une priorité ou établir une priorité. Ça c’est chose plus importante. Et je dis ça parce que c’est très important d’assurer que nous avons la personne correcte et que cette personne... Qui sont en train de se présenter doivent être bien choisies. Et ALAC a la devoir de déterminer qui, du point de vue ALAC est la personne meilleure parce qu’elle représente ALAC. On doit la présenter, faire ce qu’on doit faire, évidemment.

Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Maintenant Carlos et après ça Alan, à vous. Carlos ou directement à travers l’interprète espagnol ou bien vous pouvez me demander de lire ce qui est écrit dans le chat en ligne. Mais Carlos va nous donner un autre point de vue alternatif, et c’est très important d’avoir ce point de vue, dit Cheryl, parce que tout est transcrit et enregistré. Alors Carlos, voulez-vous – c’est à vous maintenant. Parlez.

Pour Carlos : Alors c’est Carlos ici. En réalité je crois que n’importe quel comité doit voir qui est la personne qu’on doit accepter et soutenir. Nous ne pouvons pas savoir, parce que la possibilité de voir qu’une personne est mieux qu’une autre, qui peut dire qu’une personne est plus capable qu’une autre de faire ce devoir? De faire... Pour ce qui concerne ses tâches. Comment est-ce qu’on peut décider chacun des candidats? Si nous avons des règles très claires, alors on doit soutenir les règles et accepter par ALAC et après ça, le comité avec la commission ou le comité d’Adobe peut décider à la fin si ça marche ou non. Mais à la fin, dans mon opinion je crois qu’il faut respecter la diversité et soutenir tous les candidats, tous les candidats, évidemment, qui ont fait l’application. Mais je ne pense pas qu’il y aura tellement de candidats.

Pour ce qui me concerne c’est très clair : Qui peut décider qu’un candidat est mieux que l’autre? Que moi je suis mieux que l’autre personne? Qui peut décider ça? Ça c’est quelque chose vraiment sérieux. C’est pour ça que je voulais faire cette remarque.

Pour Cheryl : Alors merci Carlos, dit Cheryl. Et ce que je peux dire, je note ça. Parce qu’on reconnaît, dans ces réunions, que c’est un point de vue de la minorité et on aura des autres personnes avec des autres réactions. Alan, vous êtes le prochain dans la queue.

Pour Alan : Alors en réponse aux remarques de Carlos, je voudrais faire noter que peut-être ça sera difficile de voir qui est le meilleur. Mais ce sera – on le fera. Et peut-être je ne suis pas tellement humble, mais je vous dirais, nous sommes dans une position meilleure de faire ça que les présidents du GAC ou de la commission. Et c’est eux qui vont décider si on ne décide pas nous. Il faut avoir l’opportunité de faire ça. Et on ne doit pas céder cette opportunité à ces commissions. On doit absolument éliminer les personnes qu’on est sûrs qui ne pourrons pas bien nous servir. C’est vrai, c’est une décision. Et peut-être on peut dire, vous avez la possibilité ou non de le faire. Mais on peut avoir des opinions différentes, évidemment.

Mais la deuxième question, pour ce qui concerne les régions, peut-être on n’aura pas les applications de toutes les régions nécessairement. Peut-être on a une application de (inaudible) région que tout le monde est d’accord ou presque tout le monde est d’accord, n’est pas possible. Et on ne devrait pas dire ça de telle région. Mais je pense que la responsabilité, la transparence qui est très importante si on va soutenir les utilisateurs Internet, c’est beaucoup trop important de ne pas chercher de faire – avoir la tâche responsable et sélectionner les personnes qui sont les meilleures. On a beaucoup eu de manque de satisfaction avec la transparence et la responsabilité de la part d’ICANN. Si on ne choisit pas bien, si on ne fait une sélection, la responsabilité c’est à nous.

Alors je pense que Tijani voulait – Tijani, si vous voulez parler, s’il vous plaît.

Interprète : Alors peut-être vous êtes en « muet ».

Tijani : Oui. Merci. Oui. Okay. Maintenant vous m’entendez, je crois. Oui. Je voulais parler à propos de deux choses : Premièrement, le nombre de candidats à retenir et deuxièmement, qui sélectionne.

Pour le nombre de candidats (inaudible) commencé il y aura une personne qui présentera le at large ou peut-être deux au maximum. Pourquoi en choisir trois? Parce que, bon, vous allez me dire, ça donne plus de flexibilité au – au président du GAC qui sera accueilli dans la commission. Mais moi je ne veux pas lui donner cette possibilité.

Deuxièmement, qui va décider qui est meilleur que l’autre? C’est – la question... Moi je ne peux pas (inaudible) cette question puisque, de toute façon, ALAC va décider et ALAC ne choisira pas, je pense, une personne qui représentera mal la communauté at large.

Interprète : Pour Cheryl : Sébastien maintenant va répondre. Et selon ce qu’il dit, peut-être on va revenir au point que Tijani a soulevé. Alors...

Pour Sébastien : Sébastien : Je voudrais accepter ce qu’Alan a dit. J’ai deux peurs ici. On dit toujours, si on fait une décision pas correcte, bien nous sommes 15 personnes, on peut faire aussi des bonnes décisions. On ne doit pas toujours être préoccupés toujours qu’on fait une décision pas correcte. Et deuxièmement, on doit retenir plus la puissance qu’on peut avoir. Je serai très content d’avoir un bon – une personne qui peut dire aux communautés que nous avons la puissance de faire des décisions et nous voulons faire ces décisions. C’est pas que je pousse ça aujourd’hui pour ders bonnes raisons.

Pour Alan : Alan dit : On doit avoir trois noms, trois candidats. S’il y a plus d’une personne qui représente ALAC dans cette commission. Mais je dois vous dire que, de mes informations, GAC veut avoir cinq personnes sur ce comité. En plus du directeur du GAC, je pense qu’on doit absolument avoir plus d’une parce que si on a seulement une, alors il faut mettre trois noms en ordre pour montrer notre préférence.

Ne donnez pas la puissance à tous les autres. Cherchez de retenir la puissance pour pouvoir bien choisir.

Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Maintenant nous avons un autre point. Nous avons une liste de noms. Ce groupe de noms des candidats sélectionnés ne sera jamais nécessairement des personnes qui ont fait l’application mais seront sélectionnés et il y aura la révision, on aura peut-être à peu près trois, dit Cheryl, pour avancer.

Pour Sébastien : Maintenant Sébastien suggère que dans quelque forme on aura un certain ordre. La raison c’est que, dans un monde idéal, ça doit être le travail d’ALAC de présenter les personnes qui seront les meilleures à les représenter. D’avoir des bons représentants.

Mais au point de Tijani, c’est très important de reconnaître qu’en ce moment nous sommes seulement sûrs d’une position dans un – dans l’équipe de révision de huit membres, si vous comprenez ce que GAC cherche à faire, dit Sébastien. Mais je connais très bien que beaucoup de la commission at large aux réponses aux remarques publiques de la LC, particulièrement dit que c’est trop petit et que ça doit être plus balancé. Mais on ne peut pas s’assurer qu’on aura une réaction de ces remarques qui veut dire qu’ALAC aura plus d’un – d’une position. J’espère en avoir plus d’une. Et on va chercher de pousser ça. De l’avoir.

Alors Tijani, je pense que la chose plus importante de comprendre ça a toujours été, le directeur de la commission et de la commission de conseil GAC et toutes les nominations qui vont faire la sélection. Et ce qu’on demande de faire, d’avoir une certaine formulation de sélection de manière que ces candidats seront plus sélectionnés, les personnes dans la commission de conseil s’ils veulent accepter certains d’entres eux. Alors il y a des règles dont on doit respecter. Mais si on a un modèle correct. Je suis sûr qu’on aurait fait un modèle beaucoup meilleur si on était engagés en ça.

Pour Cheryl : Mais si on regarde maintenant, dit Cheryl, au trafic dans l’espace chat, nous avons un (inaudible) de soutien. Mais je note que Tijani voudrait répondre. Parle Tijani.

Tijani : Tu m’entends? Bien.

Interprète : Oui.

Tijani : Okay. Okay. Je crois que mon intervention a été mal interprétée ou peut-être que Cheryl n’a pas bien compris ce que tu as interprété. Ce que je voulais dire c’est que la sélection se fasse à ALAC. Et nous avons confiance à ce qu’ALAC fasse cette sélection. Il n’y a aucune raison pour que quelqu’un dise qui va choisir. C’est ALAC qui choisit et puis voilà. Donc elle a répondu – parce que d’après la réponse de Cheryl, j’ai compris qu’elle a compris que moi je conteste un petit peu cette (inaudible). Alors que ce n’est pas vrai du tout.

Interprète : Pour Cheryl : Okay. Merci de cette clarification, dit Cheryl. Merci.

Pour Alan : Maintenant est-ce qu’on peut passer à la prochaine question, dit Alan?

Pour Cheryl : Oui.

Pour Alan : Je pense qu’on a déjà parlé de ça de manière responsable. La prochaine question, si on choisit les chiffres, disons à peu près trois personnes ou candidats, si on sait avant la sélection combien de candidats on aura, on peut choisir d’avoir seulement – de présenter trois ou peut-être on peut donner encore plus. Mais on doit être flexible et ne pas être fixé. Puis comment prioritiser? Je voudrais suggérer qu’on doit avoir la priorité entre les candidats, parce que si on soumet trois candidats sélectionnés et ils choisissent seulement un ou deux de ces candidats, nous auront plus de contrôle sur quels candidats ils vont choisir. Ils ne sont pas liés à sélectionner ce qui est notre premier. Alors moi je veux suggérer qu’il y ait une prioritisation, c’est-à-dire qu’on choisit notre premier candidat et qu’il – s’ils veulent choisir une autre personne, ils doivent le faire très – avec beaucoup de conscience.

Pour participant non-identifié : Un autre répond : Oui, on doit le mettre sur le procès-verbal que nous sommes contraires s’il ne choisit pas notre premier choix de candidat. Disant, on a seulement adressé trois des neuf questions.

Pour Alan (?) : Est-ce que nous sommes contents de la priorité? Maintenant le critère. On a déjà parlé de critère, on a déjà parlé de ça. Les questions qui ont été présentées : Est-ce qu’on a besoin d’avoir la connaissance d’avance d’ICANN at large, est-ce qu’ils doivent être engagés dans le at large. On a aussi parlé de la question si on doit considérer les différences régionales, que ça soit femme ou homme. Je pense qu’ICANN est essentiel d’avoir quelqu’un qui est bon à faire une évaluation des gens. On a beaucoup d’expérience dans ICANN. On fait toutes ces révisions externes et on porte des gens de dehors pour faire des évaluations. Dans tous les cas on accepte presque toujours les conclusions qu’ils ont faites et on les rejette. Les groupes internes qui regardent les révisions externes font des changements plutôt substantifs et ils identifient beaucoup de domaines que les groupes externes n’ont pas du tout compris. Si vous regardez la question de la grandeur de la commission, ça c’est un exemple parfait.

Alors dans ce cas-ci, le résultat de ce comité, il n’y aura pas de comité interne pour faire la révision et choisir ce qu’on a – ce qu’on peut implémenter. Maintenant, à ce sujet, la commission doit implémenter ça. Alors même si on dirait que c’est élégant, je pense que c’est très dangereux. On doit voir des gens qui sont engagés de manière intime avec ICANN. Et ça ne peut pas être une expérience limitée. On a besoin de gens qui sont engagés dans ICANN. Et on a besoin des gens qui sont engagés de manière modérée ou encore plus, pourquoi ils peuvent comprendre et avoir des relations avec nous même s’ils n’ont pas été actifs. Et la capacité d’avoir des bonnes relations avec nous et de bien nous représenter, c’est exceptionnellement important.

Maintenant pour ce qui concerne la question régionale et la question de diversité, ça je mettrais à côté. Si on trouve, évidemment, des candidats tellement merveilleux qu’on doit choisir entre eux, peut-être alors une question de diversité peut y entrer. Mais je préfère quelqu’un qui peut représenter nos points de vue. Et je pense que nous avons des points de vue très forts sur la question de responsabilité et de transparence. Merci Cheryl.

Pour Cheryl : À vous Adam, dit Cheryl. Adam, est-ce que vous êtes en « muet »? Est-ce que vous êtes encore en « muet » Adam? Je pense... Alors...

Pour Adam : Alan, je pense que vous avez présenté ça. Peut-être ça serait bien accepté la révision externe. Nous sommes (inaudible) de – nous savons que les commissions de révision ne sont pas toujours celles qui sont externes, parce qu’il y a des directeurs des autres commissions. Alors évidemment, ICANN doit avoir les connaissances. Mais on ne sait pas s’il y aura la connaissance des mécanismes de bonne gouvernance et d’autres types de gouvernance. Et les personnes qui ne sont pas seules, qui sont dans ICANN avec les connaissances intimes. Et moi j’ai envoyé un email à ce sujet. Et je pense absolument que c’est très important que le comité doit être assidable (ph). Et la seule manière d’avoir ça... Que ce n’est pas un groupe de ceux qui sont seulement les petits groupes supérieurs. Autrement les gens n’ont pas accepté qu’il y a ce – la division nécessaire.

Le comité ce sont les divisions externes ou bien le contrôle externe d’ICANN qui a été créé. Et si on présente un comité de personnes qui sont les – les mêmes personnes qui sont dedans ICANN, je pense que ça ne sera pas correct. C’est-à-dire le gouvernement des États-Unis et les autres organisations qui ne sont pas dedans ICANN. Je pense qu’on doit avoir une bonne balance Ça doit être balancé. Ça c’est que je crois.

Pour Cheryl : Merci Adam, dit Cheryl. Il faut noter qu’ALAC maintenant a une possibilité d’avoir un candidat de représenter soi-même et d’être engagé à ce sujet. Non. Je suggère qu’on doit faire référence à ça. On pourrait faire une sélection avec une personne qui a de la connaissance mais pas – qui a les connaissances d’ALAC et ICANN. Et – mais qu’on doit se réunir avec les autres organisations et commissions de conseil et chercher de trouver des personnes avec ces préparations externes. Et comme ça on peut faire... Cheryl dit, Adam...

Interprète : Cheryl? Could you just pick that... Cheryl? Cheryl, I am sorry. Tricia here. Could you just pick that up? That was – that wasn’t too clear. Just that last – your last statement.

Pour Cheryl : Je suis très claire qu’il y a des gens qui sont contraires, parce qu’ALAC a déjà fait ça. Et vous devez avoir la connaissance que le directeur de ccNSO et ALAC et le gNSO ont tous écrit au directeur de la commission, le CEO et le directeur des autres sur les – que ce processus devait être révisionné et qu’il y avait beaucoup d’erreurs et qu’il fallait discuter ça à Nairobi. Mais on doit continuer à trouver une manière de travailler entre les directives qu’on a déjà. Alan c’est à vous maintenant, dit Cheryl. Il y a une réponse à Adam.

Pour Alan : Je comprends la perception de ceux qui sont en-dehors d’ICANN que tout le monde dedans ICANN sera un souteneur excessif de ce groupe. Et vous tous vous avez participé dans des réunions où on a entendu quelqu’un sur le scénario qu’ICANN est tellement responsable et transparent. Et nous qui sommes dans le public, nous ne sommes pas d’accord tous, du tout. Alors cette révision aura beaucoup de – certains gens qui sont dans ICANN mais qui ne sont pas des souteneurs d’ICANN pour ce qui concerne leur manière de... Mais est-ce que vous comprenez? C’est pas la question. On veut remplacer le contrôle unilatéral du gouvernement des États-Unis avec une révision externe de personnes qui sont plus objectives, il y a le AGF. Pour – les autres ne seront...

Interprète : I am sorry, excuse-me. Who will not be satisfied?

Pour Alan : Les personnes... Je voudrais suggérer dans le ITU et le AGF. Et aussi le gouvernement des États-Unis ne voudrait pas avoir quelqu’un qui est seulement tellement intime et interne. C’est pas seulement les personnes. Mais ce sont la – c’est la présentation, comme ils se présentent. Ça ne doit pas être seulement un groupe de personnes qui sont les personnes supérieures intimes entre elles.

Carlton (?) : Alors un autre répond : Le département de commerce a dit que les représentants de ce comité doivent représenter les comités de conseil divers qui est les NFO (ph). Et si nécessaire, on doit avoir des autres personnes sur le comité. Et ça c’est le travail qu’on nous a demandé de faire exactement. Parce qu’ils reconnaissent – parce que ce sont les participants qui doivent être représentés évidemment. Ils s’attendent d’avoir des gens qui sont intéressés en ICANN.

Pour participant non-identifié : Je ne sais pas, il répond, comment ils ont – mais ce sont les mots qu’ils ont utilisés. Et moi je l’ai interprété (inaudible) aussi, il dit.

Pour Cheryl : Et Cheryl dit : Merci Carlton. Maintenant, s‘il y a quelqu’un d’autre qui veut parler à ce sujet, à cette question.

Pour Sébastien : Moi je voudrais, Sébastien dit, je voudrais en parler. Je comprends les points qui ont été faits par Adam. Mais ALAC et at large, nous avons un – une position. On ne va pas sauver le monde. On doit avoir notre voix dans ce comité. C’est pas notre tâche de s’assurer qu’ICANN sera content avec son AOC. On – peut-être on n’a pas eu une voix. On n’a pas... Et aussi c’est une décision faite par trois, quatre personnes à un certain moment à Washington. Et ça c’était pas une bonne manière de faire les décisions. Mais aujourd’hui, ce qu’on doit faire c’est de trouver les meilleures personnes pour mettre notre voix et la voix des utilisateurs finaux Internet. Et il faut s’assurer que cette personne a la capacité de parler comment il peut organiser la gouvernance Internet, mais aussi les questions du comité et les questions de transparence et de responsabilité. Ça c’est déjà une grande tâche. Et se concentrer sur ça, ça serait déjà très important.

Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Quelqu’un d’autre qui veut parler à ce sujet? Autrement, si on peut continuer avec la prochaine – le prochain... L’article. Est-ce qu’on peut mettre sur le procès-verbal ce qui est le résultat de nos opinions? Je pense qu’avec l’exception d’Adam, c’est l’argument initial modifié, c’est essentiellement ce qu’on va avancer. Est-ce que je l’ai... Est-ce que quelqu’un n’est pas d’accord, dit Cheryl?

Pour participant non-identifié : Alors dès qu’on a des délais, comment est-ce que les réunions ALAC, RALO et tous les autres peuvent participer, on doit faire une décision dans les prochains deux jours. Je pense l’extension de plusieurs semaines nous donne beaucoup plus de flexibilité. Dans le passé, on n’en avait pas assez. Alors moi je propose, et je ne suis pas sûr que – je suis peut-être un peu confus. Un instant seulement. Je cherche d’arranger mes chiffres ici.

Pour Cheryl : Vous êtes en train de parler, dit Cheryl, le rang pour ce qui concerne la consultation des RALO et les ALES pour le 10 mars.

Pour participant non-identifié : Oui, je suis confus avec les dates. On ne sait pas exactement quand il y aura le délai, il répond.

Tijani : 7 mars. 7 mars et non pas 10 mars.

Interprète : Pour Cheryl : 7 mars? Alors 7 mars. Il avait dit 10 mars. Mais 7 mars si vous croyez. Alors on doit faire la décision à la fin, le 12 mars à Nairobi. Et ça veut dire que le délégué qu’on choisit... On va faire ça d’une manière mécanisée où il y a une votation SCV des membres ALAC et RALO, quelque chose pareil, où si ces chiffres vont sortir de ça, alors on va les présenter. Moi je suggère que si on enlève l’élément humain n’est pas une bonne décision. Et on veut que ça soit un couple de personnes qui font la décision, pas un mécanisme. Et les – on ne doit pas avoir une votation automatisée mais choisie par des êtres humains. Parce qu’on doit avoir quelques directives des RALO et aussi d’ALAC en général. Et moi je suggère un vote NSC et que les candidats de dedans pourraient être regardés par un petit groupe de personnes. Et moi je suggère un par région pour faire la décision finale. Un par région qui fait partie de ce groupe. Commentaires et réactions à ça, dit Cheryl? Quelqu’un du côté français veut – a une remarque? Tijani? Est-ce que vous voulez parler à ce sujet?

Tijani : Oui. Oui.

Interprète : Pour Tijani : Yes, please...

Tijani : Oui. Une personne par région ça ne fait que cinq personnes. Et est-ce que le groupe, un groupe de cinq personnes serait suffisant? Peut-être deux personnes par région ça serait aussi bien de manière à avoir, donc, un groupe plus large pour décider.

Interprète : Pour Cheryl : Moi je suggère cinq personnes, une personne par région. C’est ça que j’avais suggéré.

Interprète Tijani, qu’est-ce que vous dites?

Tijani : Oui, je sais, elle a suggéré cinq personnes, une personne par région.

Interprète : Tijani, attendez. Répétez parce que tout le monde parlait en même temps. Répétez.

Tijani : Oui. Moi je sais qu’elle a suggéré cinq personnes à raison d’une personne par région. Ce que j’avais – ma réplique était : Peut-être, moi je suis – ça ne me dérange pas que ça soit comme ça. Mais je – peut-être que je préférerais deux personnes par région de manière à avoir un groupe de 10 personnes où, donc, plus le groupe large, je crois, mieux le choix est fait, je pense.

Interprète : Pour Cheryl : Ma réponse c’est que ça doit être fait probablement le soir très tard à Nairobi ou dans les derniers jours. Ça sera déjà assez dur d’avoir cinq personnes à avoir une réunion. Avoir 10 personnes comme réunion ça sera presque impossible parce que tout le monde sera parti ou presque tout... Et on n’aura pas assez de personnes de chaque région. Alors une des régions dira : « Ah non, on n’a pas deux personnes parce quelqu’un est déjà parti. » Chercher d’avoir plus de cinq personnes dans cette réunion à Nairobi pour des travaux très récents, je pense que ce n’est réaliste. Ça c’est mon opinion. C’était seulement pour cette question de pouvoir faire la réunion.

Cheryl maintenant dit : Je reconnais Sébastien maintenant. Et si le côté espagnol veut faire des remarques ou a un commentaire à ce sujet? Alors il y a un commentaire du côté anglais.

Pour participant non-identifié : Ce que fait le gNSO, ils ont un groupe de – une personne pour chaque groupe de participants. Et puis après ils feront une réunion, un espace pour ratifier la décision. Peut-être ça c’est une manière aussi de le faire.

Pour Carlos : Carlos dit qu’il est d’accord avec le choix d’une personne par région. Il pense que ça c’est la chose meilleure pour pouvoir avoir une réunion.

Pour Sébastien : Puis peut-être c’est Sébastien qui parle : Peut-être on n’a pas besoin de cinq personnes au – mais si on a un groupe de cinq personnes qui cherchent d’aider le travail des eLAC, des ex-com, peut-être un de ces deux groupes peut s’engager à ce sujet, parce que les ex-com seront les dernières personnes à laisser, les dernières personnes qui travaillent à Nairobi. Peut-être ça c’est une possibilité alors.

Pour participant non-identifié : Alors ça c’est une possibilité, dit un autre. Si un RALO veut sélectionner autre, elle doit le mentionner.

Pour Cheryl : Alors Cheryl : Maintenant je veux prendre opportunité, dit Cheryl. Je voudrais penser que si on a cette finalisation à Nairobi, dans l’espace à Nairobi, alors ça serait une possibilité pour nous d’engager les eLAC en général comme... Peut-être ça, ça sera un peu idéaliste et je ne sais pas si on peut l’achever ou s’il y a des questions, comme dit Alan, que les gens sont déjà partis. Mais je voudrais considérer que ça c’est quelque chose qui doit être finalisé par ALAC en complet. Si on ne peut pas le faire pendant la réunion de Nairobi, dit Cheryl, alors je suis d’accord, peut-être, d’avoir une acceptation sur le processus comme fait le gNSO. Est-ce que quelqu’un veut parler à ce sujet?
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Pour participant non-identifié : Cheryl, un autre des hommes dit, mais j’ai peur qu’on n’aura pas de temps d’avoir de la discussion en commun avec toutes les parties et les participants. On doit s’assurer d’avoir des réponses.

Pour Cheryl : Cheryl dit : Oui. Comme est en train de sacrifier la totalité de notre très importante réunion face à face pour cette discussion, on doit le – on doit le faire à Nairobi, de quelque manière. Si les raisons que je suis furieuse avec les mécanismes épouvantables, je dirais, une espèce de déjeuner de chien, c’est une farce qu’on doit avoir la – une commission de transparence et révision et il n’y a pas de transparence par eux et de responsabilité. Alors ça c’est pas la dernière fois que j’ai noté ça.

Pour participant non-identifié : Alors un autre répond des anglais : Alors avant il faut finaliser la manière de faire la sélection. On va – on va faire ça au commencement de la réunion à Nairobi pour pouvoir faire cette sélection. Ça c’est déjà – on a décidé de faire cette sélection au commencement de Nairobi. Est-ce qu’il y a des autres informations, il dit, dans des documents brouillons, le premier...

Pour Cheryl : Il y a une liaison sur les pages Wikie, un link qu’on peut accéder, dit Cheryl. Et il est en train de taper. Je pense que c’était du côté de l’ordre du jour. Je voudrais lire les deux choses qu’on a dites. Est-ce que quelqu’un peut y arriver aux deux choses?

Cheryl est en train de dire maintenant : Alors je vais entrer dans le monde du Google, des documents Google. Je pense que – non, j’ai pas trouvé.

Pour participant non-identifié : Je pense, il répond, les questions étaient : On veut une déclaration de chaque candidat pourquoi ils croient qu’ils sont dans une position de représenter la communauté ICANN at large sur cette commission de révision et pourquoi croient d’être dans la position de représenter les utilisateurs globaux, ou quelque chose pareil plus ou moins. C’est-à-dire pourquoi on doit accepter ces candidats en croyant qu’ils vont représenter nous, la communauté at large et les intérêts aussi des utilisateurs finaux autour du monde, qui est beaucoup plus grand que la communauté at large celle des utilisateurs finaux. Je crois fortement qu’on doit poser ces questions. Ça fait partie du processus que si on avait été déjà engagés au commencement, les gNSO posaient ce type de question, le processus, si un candidat est identifié, qui a fait l’application, il demande explicitement ces questions pour avoir des réponses. Et nous devons faire la même chose. C’est une décision qu’on doit faire aujourd’hui absolument.

Pour Cheryl : Cheryl dit : Alors vraiment, je – vous reconnaissez que nous sommes – nous avons passé tout cet appel à ce sujet et j’ai déjà éliminé un peu le reportage normal. Et nous avons des autres choses qu’on doit – dont on doit parler. Je dois contrôler, on est encore en quorum. Mais on a aussi des autres – deux articles sur l’ordre du jour. Alors si on peut avoir une discussion et une décision. Est-ce qu’il y a des objections à ce qu’on vient de proposer? De présenter aussi?

Donc, Cheryl dit, alors de ce que j’ai compris, dès qu’il y a le silence, je vais du côté français et espagnol, au côté espagnol. Si nous n’avons pas – nous sommes d’accord il paraît. Alors la prochaine question : À cette date tellement tard, est-ce qu’on doit émettre un autre appel pour les candidats? Est-ce qu’il y a un autre délai? Les informations qui ont déjà été envoyées aux listes ALAC étaient très explicites pour ce qui concerne les RALO, que s’ils voulaient faire des demandes entre leur ALO, qu’il voulaient le faire l’a déjà fait, et cette question a déjà été engagée. Est-ce qu’il y a des objections à ce sujet? Si évidemment n’importe quelle des RALO peut avoir – donner ses réactions. Il faut distribuer ça, dit Cheryl, dès qu’il y a des personnes qu’on ne connaît pas du tout qui ont fait l’application aussi.

La question numéro 8 : Est-ce qu’on veut accepter des candidats et le propos ICANN que tous les candidats qui ne sont pas utilisés sur cette commission de révision seront inclus dans le groupe de candidats futurs pour des révisions, par exemple, sur la sécurité et la stabilité de l’Internet, la confiance dans les gTLD et le quatrième. Maintenant qui a des questions ou des problèmes? Ça se sont des révisions différentes qui ont besoin des connaissances et de la préparation différente. Je voudrais dire explicitement, dès qu’on fait ça très vite et avec trop de hâte, je voudrais dire que les candidats ne doivent pas être retenus pour le futur dans des autres révisions. On peut peut-être choisir les mêmes personnes. Mais il faut absolument qu’ils soient choisis avec calme, pas de manière tellement vite comme on le fait maintenant. Parce que les candidats qui sont choisis mais pas utilisés et choisis à la fin ne doivent pas être mis dans cette espèce de groupe pour le futur parce qu’on ne sait pas si leur préparation est juste pour chaque comité ou commission.

Alors maintenant tout le monde paraît d’accord, dit Cheryl. J’ai vu les... je suis d’accord, dit Cheryl, pour ce qui concerne le représentant de sécurité et stabilité est tellement différente comme préparation qu’il faut être sûr qu’on choisit un candidat qui est juste pour ça. Et le dernier sera peut-être – il y aura un peu de controverse. Et le comité pour le GAC et la commission sont identifiés dans le LC comme le directeur de cette commission ou leur délégué. Cette courtoisie n’a pas été donnée aux SE et SO et je crois qu’on doit avoir la capacité de faire ça. Un des problèmes c’est, comme on a (inaudible) présente, même si ces personnes (inaudible) représentants, si on regarde la définition du dictionnaire, ça c’est quelqu’un qui est sélectionné de parler de votre part. Et on sait – on ne sait pas les détails. Ça peut être quelqu’un qui parle pour notre compte sans nous consulter sur chaque point, évidemment.

Pour participant non-identifié : Alors quelqu’un qu’on sélectionne ici ne doit pas répondre à nous, de n’importe quelle manière. Si on choisit notre représentant ou un de nos représentants d’être le directeur, disons d’ALAC ou quelqu’un qui est choisi par le directeur d’ALAC, maintenant cette personne doit répondre à la communauté. Ça ne veut pas dire qu’on parle de Cheryl mais on parle de la position du directeur qui pourrait être – ou président qui pourrait être différent un certain... Et je pense que c’est une courtoisie qui devait être donnée à ce groupe, comme on avait fait à la commission et au GAC. Et je pense qu’on doit accepter la conception qu’un de participants, des applicants doit être le directeur pas nommé d’ALAC ou leur représentant.

Cheryl : Cheryl répond : Je reconnais, Dave il y a à peu près cinq fois. Une fois que je vous donne le micro vous êtes dans la queue et nous avons une hiérarchie pour ce qui concerne la parole. Alors maintenant parlez, Dave.

Pour Dave : Je voudrais seulement – je demande...

Pour Cheryl : Non. J’avais pas besoin. Alors maintenant je vous enlève le mike alors je donne à Adam maintenant.

Pour Adam : Alors Adam : Oui, est-ce que vous m’entendez?

Pour Cheryl : Oui, on vous entend clairement heureusement.

Pour Adam : J’avais oublié le « muet » la dernière fois. Alors, dit Adam, pas de surprise. On ne doit pas avoir le comité de gens qui sont seulement intimes entre eux. Comme vous savez, que ce soit les LC ou n’importe. Mais c’est une question de principe. Je suis contraire. Je ne comprends pas l’argument pour ce qui concerne la responsabilité, qu’on choisit quelqu’un et qu’on dit qu’ils sont responsables vers nous, même si les règles sont contraires à nous, même s’il est le directeur ou non.

Alors pour question pratique, j’ai entendu que le ccNSO a suggéré que leur directeur sera disponible à servir celui du gNSO. Un, il avait dit qu’il ne voudrait pas, maintenant il dit qu’il est d’accord de servir. Nous avons le directeur de la commission d’ALAC et de l’autre. On aura deux Australiens et un de Nouvelle-Zélande. Et peut-être, je ne dis pas du tout que vous êtes une femme en marge.

Pour Cheryl : Non, absolument, dit Cheryl.

Pour Adam : Mais vous êtes seulement une entre quatre. Moi je pense que les délégués doivent être utilisés dans ces cas.

Pour Cheryl : Je pense qu’on pourrait – je ne suis pas sûre Adam, dit Cheryl, si on doit chercher de comprendre ce que les autres et s’ils veulent faire pour nous.

Pour Adam : Mais, il répond, comme question de principe, pour ce qui me concerne, ça doit être un comité de gens qui sont seulement entre eux. Ils ne doivent pas être moins ou plus responsables que les autres. On doit être gouvernés par les règles du comité, quelle que soient ces règles. Mais ça ne marche pas pour moi. Et puis il y a la question pratique que si on suggère notre directeur, alors ça devient le directeur ou quoi? Mais la chose plus importante c’est le principe.

Interprète : Sorry. Who is speaking now? Thank you. Adam vient de parler. Maintenant Cheryl répond :

Pour Cheryl : Vanda, j’ai vu que vous avez soulevé votre main.

Pour Vanda : Alors Vanda. Je crois, dit Vanda, que les questions ici... C’est pas la question du comité. Ce que va décider le comité, le GAC ne suivra jamais parce que... Quelqu’un dans le GAC représente les autres. Alors... S’ils auront... Ce que je me rappelle, quand nous avons eu le comité de la commission et du GAC, un membre du comité de la commission... Une fois... Ça serait une question de qui sera le représentant. Nous devons faire le vote. Les personnes qui nous représentent... Donc nous avons voté de notre côté. Et une fois qu’on a eu ça, le point que je soumets c’est qu’une des personnes là-dedans, les autres avec des différentes préparations qui entrent seulement dans différents domaines. Mais je crois, on doit premièrement avoir plus d’une position. Et une fois qu’on a le GAC avec plus de personnes, on doit avoir aussi – avoir plus d’une personne qui participe. Alors en tout cas, je voudrais que le directeur ou président soit choisi par nous dans une décision parce que votée par les RALO, les représentants des RALO et ALAC. Et puis dans le eLAC on choisit le directeur ou le président.

Et pourquoi ne pas utiliser ça. Moi je pense qu’on doit utiliser ça parce que les personnes qui sont élues sont les mêmes qui vont élire les autres dans des positions. Alors je crois, ça c’est très important, un groupe très important parce que c’est le premier. On ne sait pas combien. Mais il y en aura beaucoup parce que LC a une liste de – de questions qu’on doit résoudre. Alors on doit avoir, dans le premier qu’on fait ce (inaudible) et la plupart des gens ont des connaissances spécialisées et pendant cette situation à Nairobi, on ne sait pas qui sera vraiment là. Je ne suis pas sûre. Au dernier moment il y a des gens qui peuvent ne pas participer. James a dit ça.

Alors à la fin, les personnes élues... Et...

Interprète : Cheryl? Could you just summarize that again? It was very hard to hear her. Thank you.

Pour Cheryl : Ce que Vanda – son argument disait dès qu’on a des ALS régionales dans la structure régionale qui sont dépendantes d’ALAC. Et ça c’est une question électorale et c’est très transparent. Et dès qu’en dedans ALAC a élu le président, qu’on doit présenter l’argument qu’on doit avoir plus d’une position à la table et qu’une de ces positions doit être occupée par le président du AC. Et que ça c’est important. Alan, c’est à vous, dit Cheryl.

Pour Alan : Ça sera beaucoup plus facile de résoudre cette question si savait qu’il y aura deux personnes au lieu qu’une personne. Moi je voudrais voir le résultat, l’affirmation que nous pouvons demander à notre président courant, de la part de tous les présidents d’ALAC, de présenter l’application à ce processus. On ne sait pas si ça va être reçu. Mais je suggère qu’on ait l’option de choisir notre président dans les discussions à Nairobi. Ça veut dire que l’application doit être soumise avant le 7 mars. Est-ce qu’on est d’accord au moins? C’est pas question que ça sera sélectionné par les sélectionneurs. Mais au moins on a préparé la possibilité.

Pour Cheryl : Est-ce qu’il y a des objections à ces possibilités? Parce que moi j’ai quelque chose à ajouter, dit Cheryl. Adam veut répondre. Adam?

Pour Adam : Oui. Non, je ne veux pas soutenir ça. Je ne pense pas que c’est pas la voie juste à suivre, comme j’ai dit avant.

Pour Cheryl : D’accord, dit Cheryl. Sébastien, est-ce que vous avez quelque chose à dire? Voulez-vous parler avant que je réponde?

Pour Sébastien : Non. Non, non. J’ai pas besoin.

Pour Cheryl : Alors Cheryl répond : En réponse à la question et Adam, je reconnais ce que vous êtes en train de dire. Et je voulais soulever ça au commencement. Adam, est-ce que vous voulez parler avant que je... Est-ce que vous voulez parler encore Adam?

Interprète : Okay. D’accord. Alors Cheryl.

Pour Cheryl : À l’organisation at large Asie Pacifique la réunion plus tôt aujourd’hui ou même hier maintenant, il y a eu une résolution que le représentant de l’organisation régionale at large Asie Pacifique, qui maintenant est une position de président dans ALAC, c’est moi, fera l’application à accepter et voudrait choisir le AC RALO. Alors moi je vais présenter une application parce que c’est ça que la région m’a demandé de faire. Mais la question c’est, Alan, si ça doit être – si on doit noter le soutien de la région. Mais ça sera plus confort pour moi que ça soit présenté dans le – dans le nom...

Interprète : I am sorry. I am sorry Cheryl. It should go in the name of who?

Pour Cheryl : Que ça doit être une lettre personnelle et motivée de moi. Mois ça doit soit présenter par le groupe, qu’on considère que le président, n’importe que ça soit, qui que ce soit, d’ALAC, a une place sur cette commission de révision.

Pour Alan : C’est-à-dire, répond lui, si vous faites l’application et vous donner votre démission demain, l’application sera à celle – la personne qui prend votre place.

Pour Cheryl » Je serais beaucoup plus confortable à faire ça, dit Cheryl.

Pour Alan : Ah, il répond, ça c’est vraiment ça que je suggérais. Mais ça c’est avant qu’on avait pensé ça. Maintenant on m’a instruit de présenter mon candidat ce soir. Maintenant il répond, même si vous soumettez cette présentation ALAC, peut-être elle ne sera pas sélectionnée. Je n’ai pas de problème avec ça.

Interprète : Sorry. You are both talking at once. Could you just repeat that?

Pour Cheryl : Cheryl, je voulais dire, Alan, on était en train de faire noter que le processus sera qu’ALAC ou partie d’ALAC va faire une recommandation de qui on doit sélectionner à Nairobi. Même si le président soumet l’application, on a le choix de ne pas l’accepter ou de l’accepter. Adam peut-être pense que ce n’est pas un bon signe. Mais présenter l’application nous permet de l’accepter ou de le sélectionner ou non. Parce que le délai est au commencement de la réunion de Nairobi.

Alors maintenant on a 15 minutes de retard de notre réunion. Nous avons encore un quorum, qui est très rare à ce point-ci. Je voudrais conclure, dès qu’on est vers la fin, je vois qu’Adam a soulevé la main. Alors quand je lui donne le micro, je lui demande de faire des nouvelles présentations a’il a besoin et de regarder un ou deux autres articles si c’est nécessaire, si on a maintenant... Ah il y a des personnes que nous sommes sept, pas huit. Je pensais qu’on avait Carlos et Hawa en français.

Hawa : (Inaudible) Maya.

Interprète : Oh, Hawa?

Hawa : Oui, I am here.

Interprète : You want to speak?

Hawa : Not yet.

Interprète : Okay. Okay. Just listen then.

Pour Cheryl : Okay. Alors Cheryl continue à dire qu’il y a le candidat ALS et ALAC, l’amélioration ALAC. L’amélioration, on doit discuter ça aussi, dit Cheryl. Et la prochaine étape pour la ASVP. Et on peut commencer à préparer l’ordre du jour de Nairobi et la commission exécutive. Mais je voudrais dire que la AGIC, les candidats, ça ne sera pas possible encore là.

Pour Adam : Je pense que c’est Adam, demande le nom des candidats.

Pour Cheryl : On n’a pas complété. Adam, est-ce que vous voulez parler des candidats?

Pour Alan : Je ne vois pas Adam qui parle, je pense que dit Alan. Alors...

Interprète : Who is speaking please? Thank you. Matthias est en train de parler.

Pour Matthias : Je voulais savoir si Sébastien est encore ici. Parce que... Nous sommes encore sept.

Interprète : We have Hawa on the call now. Hawa, vous êtes là, n’est-ce pas?

Hawa : Oui, je suis là Maya.

Interprète : D’accord. Ils sont en train de chercher de – nous avons Hawa, Dave, Adam, Sébastien aussi, Cheryl, Garreth, Alan. Et il y a beaucoup de bruit Hawa. Alors patience parce qu’on fait de notre mieux.

Hawa : Oui. D’accord. Il n’y a pas de problème.

Interprète : Merci.

Hawa : Je profite, peut-être si Tijani est là, de lui dire bonjour.

Interprète : Oh, d’accord. Mais pas – Cheryl est en train de parler. Un instant seulement.

Pour Cheryl : Alors nous avons un quorum? Parce que je voudrais absolument continuer avec les autres articles. Adam, vous voulez parler maintenant, Adam, dit Cheryl? Non. Alors Adam... Il y a un problème avec le (inaudible) d’Adam.

Interprète : Alors maintenant il y a beaucoup de réverbération dans votre côté. Si vous voulez parler après que c’est fini, autrement je ne peux pas interpréter. Est-ce que vous pouvez vous mettre en « muet »? Merci.

Pour Cheryl : Alors Cheryl dit : Je dois être assurée qu’on vous entend. Alors si – Cheryl est en train de dire : On cherche de ne pas répéter.
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Pour Adam : Je ne suis pas d’accord, elle dit.

Pour Cheryl : Il faut continuer avec la réunion pour finir. Alors est en train de continuer avec – c’est pas qu’on (inaudible) mais on veut chercher de finir la réunion.

Interprète : Who is speaking please? I am sorry. I didn’t get the name. Evan. Oh, thank you, Evan. Okay. Evan. Evan, d’accord. Okay. Evan est en train de parler.

Pour Evan : Je suis ici. J’avais une question précise. Je voulais vraiment vous demander un délai. Je n’étais pas en train de donner mon agrément sur les personnes ici. Je vais vous donner mes arguments pourquoi on doit faire ça dans une (inaudible). S’il y a des autres choses à faire dans cette réunion, bien. Mais je voudrais demander à ce groupe d’attendre certaines des questions et ABSC pour des raisons que je vais expliquer dans le courriel.

Pour Cheryl : Non. Je pense que ça sera très utile, Cheryl dit, de nous donner une idée maintenant. Parce que le fait que nous avons l’interprétation en français et espagnol, ça va être mis sur le procès-verbal. Alors si vous pouvez, si vous pouvez donner une petite présentation.

Pour Evan : Evan répond : Je voulais faire le point. Dans une conversation plus tôt avec Matthias on m’avait informé que deux des personnes présentées pour le ABSC sont des membres ALAC. Je veux faire le point que ça c’est extrêmement mauvais comme possibilité et je veux que vous reconsidériez ça de manière que le ABSC est (inaudible) par des personnes qui ne seront pas des – qui ne font pas des votes pour la position. Je pourrais donner une très longue explication à ce sujet. Mais je – vous parlez d’Adam d’AFRALO et Mohammed d’AFRALO. Je ne connaissais pas même les noms. Je savais seulement qu’ils étaient des membres d’ALAC, et c’est pas tellement important qui sont-ils. Mais c’est question de – au sujet des personnes.

Pour Cheryl : Mais je voulais être basée sur les faits, dit Cheryl. Nous avons la liste de ces noms : Mohammed El Bashir, Rajnich (ph), Veronica Couture, Adam, Jacqueline Morris, James Cordan, Miles (Nom). Et puis on a trois des RALO; Dany Younger et Joly Mcphy (ph). J’ai pas entendu dire tous les noms mais ils seront sur le chat. Il faut – on n’a pas (inaudible) avec Dany. Les deux qu’on a identifiés comme membres d’ALAC sont Mohammed El Bashir et Adam Page. Et alors moi je voulais demander une petite (inaudible) avant d’approuver toute la liste comme... Je voudrais expliquer pourquoi c’est pas une bonne idée que les personnes qui votent pour les membres directeurs de la commission. On aurait dû penser ça toutes les régions. Et peut-être il y a des arguments qui sont très acceptables, dit Cheryl. Alors on va attendre votre courriel, votre email à ce sujet. Mais le plus tôt possible, parce qu’on doit continuer avec le processus, la prochaine étape. On doit faire les appels à ce sujet. J’aurais préféré avoir un ABSC qu’on commence à travailler à ce processus et au principe qu’on pourrait faire avec l’équipe. Mais je ne voudrais pas que ça aille de l’autre côté de Nairobi. Après Nairobi. Non. On cherche de le faire avant.

Pour Evan : Alors il répond : Peut-être comme une manière de faire face à ça, je voudrais demander que toute la liste présentée moins ces deux personnes soit agrée et acceptée dans cette réunion et qu’on la renvoie, on l’apporte aux régions. Je vais présenter mes arguments et s’ils veulent présenter encore ces personnes, d’accord. Mais je voudrais seulement déclarer le cas comme quoi il veut reconsidérer.

Pour Cheryl : Ce n’est pas la fin du monde qu’ils acceptent ces deux personnes. Mais les arguments doivent être acceptés, dit Cheryl.

Pour Evan : Ça sera (inaudible).

Pour Cheryl : Non. Mais c’est possible que les régions ont déjà fait ça en détail. Mais je vois qu’il a plusieurs personnes, Adam, Alan, Sébastien et je vois aussi qu’on n’a pas beaucoup de temps. Maintenant je vais suggérer une discussion de cinq jours à ce sujet. Et après ça une décision prise quand on – à la réunion de Nairobi. Et ça doit être très bref. Et réalisez qu’il y aura la possibilité d’avoir un débat très franc. Alors Alan et après, Sébastien. Adam, c’est à vous.

Pour Adam : C’est une question pour Evan : La première chose, beaucoup des votes seront dirigés. Alors je comprends votre point. Mais je voudrais vous demander : Est-ce que vous étiez engagé dans l’établissement des procédures dans vos discussions au sujet de comment ça devait marcher, tout ça? En général le comité d’ICANN qui faisait la nomination, c’est une question que c’est un comité de sélection. Est-ce que c’était un problème ça dans vos discussions? Parce qu’il paraît que ce que vous dites, que vous ne voulez pas avoir la – le rôle de la commission de sélection d’ICANN et le fait que moi je fais les recommandations et je fais aussi la votation, c’est-à-dire que je sélectionne les candidats et puis je vote sur ça. Est-ce que c’est ça le problème que vous avez? Parce que je voudrais répondre à ça, si c’est ça la question.

Pour Evan : Evan : Alors la réponse est, oui Adam. L’intention d’avoir la ABSC ou d’avoir une chambre séparée avec les personnes qui choisissent les candidats différents des personnes qui votent avec l’intention de voir les arguments qui ont des problèmes de nos processus comme un club privé de toutes les mêmes personnes qui font toutes les décisions. C’était une tentative d’élargir le processus et minimiser et éliminer ce type de combinaison à trois sens qui ne pouvait être pas bien vue.

Pour Adam : Alors Adam répond : C’est ça que je pensais que vous avez mentionné. Alors pendant ce cas-ci je comprends. Je vais retirer mon nom parce que je pense que vous avez raison au fond.

Pour Alan : Alors Alan : Trois commentaires sur la question : Le nom du comité de nomination est correct basé sur la définition de la nomination. Mais c’est correct. Et numéro 2 : Malheureusement, cette règle aurait dû être suggérée. Et maintenant on l’ajoute à cette date très tard. Il y a une indication que si on n’accède pas ces personnes aujourd’hui, il n’y aura pas d’opportunité aux personnes d’ici de contribuer de manière substantive dans la déclaration d’intérêt ou la création ou la référence externe. Parce que ça, ça doit être fait plus tôt que plus tard.

Pour Cheryl : Merci, dit Cheryl. Et je reviens : Pas plus de cinq jours de discussion. Et puis on doit absolument faire la discussion. Sébastien, à vous.

Pour Sébastien : Oui, dit Sébastien. Sur les principes je voudrais bien que chaque région envoie un homme et une femme sur ce comité. Mais pour revenir à la position d’Evan, je voudrais expliquer pourquoi, comme RALO, on avait mis le nom de Adam dans ce groupe, dans le processus. Parce qu’on avait besoin de personnes qui connaissaient le processus des non-com. Et on n’avait pas d’autre personne qui avait la préparation d’Adam qui connaissait le processus du non-com.

Et le dernier point que je veux faire c’est qu’on cherche aussi de ne pas utiliser les personnes dans un groupe. (Inaudible) est un exemple. Et Adam vient des non-com. Alors on cherche d’être très ouverts. Et je ne suis pas sûr que le fait qu’il participe dans cette sélection et qu’il va voter, je ne pense pas que c’est un obstacle. Mais la raison qu’on travaillait sur ça au niveau RALO.

Pour Cheryl : Alors ça c’est – on a entre cinq jours on doit avoir une discussion, trois jours pour avoir la discussion en ligne, dit Cheryl.

Interprète : Oh, sorry. Did you want Tijani? Okay. Thank you. Tijani, vous voulez parler? Ou Hawa? Vous voulez parler du côté français? Allô? Allô?

Tijani : Oui, oui, oui Tricia. Oui.

Interprète : Okay.

Tijani : Oui. Alors moi je veux dire que, enfin, tranquillement et rapidement on (inaudible) facilement et rapidement (inaudible) Mohammed El Bashir du côté d’AFRALO. Ce n’est pas difficile à faire. Et je pense que l’argument d’Evan est plus valable.

Interprète : Pour Cheryl : Alors d’accord. Excellent, dit Cheryl. Alors Evan dit que vous n’avez pas de désaccord avec votre idée. Alors Adam s’est retiré alors EURALO doit choisir un autre nom et Mohammed peut être remplacé. On va discuter ça avec AFRALO. Je voudrais penser qu’on aurait les discussions en ligne, des débats, une discussion très franche avec le at large et de manière qu’ALAC peut voir ce qui se passe et peut être d’accord. Et on va chercher d’avoir la résolution de ça dans les prochaines 72 heures, avec une liste des candidats avec les noms enlevés. Et la liste peut être acceptée et choisie et sélectionnée. Et moi je vais utiliser des mécanismes pour le refaire.

Evan, est-ce que vous pouvez clarifier si vous avez l’objection d’ALAC ou bien un des 20 voteurs? Parce que les directeurs sont aussi des voteurs.

Pour Evan : Non. Ça doit être (inaudible) clair, dit Evan. Et comme je viens de dire, je ne demande pas de changement des règles. Je demande seulement qu’on doit reconsidérer pour les optiques, si une région veut reconsidérer et encore envoyer les membres ALAC. Mais je ne pense pas que c’est une bonne idée.

Pour Cheryl : D’accord, dit Cheryl. Je pense que c’est une très bonne opportunité de re-focaliser, recentrer. Alors maintenant la prochaine étape : Le comité ST...

Interprète : I am sorry. Which committee (inaudible)? Sorry.

Pour Cheryl : Je pense que c’était le ASAT. Il y a la liaison à cet espace de travail. On doit le regarder par tout le monde ici. Et quand vous avez la possibilité de le regarder, il y a de l’activité mais pas beaucoup, pour ce qui concerne le processus et aussi les pratiques pour ce qui concerne le ABSC et les activités très importantes que tous les eLAC doivent être à connaissance de ça.

Alors la mise à jour pour ce qui concerne la question exécutive, je voudrais passer un petit moment pour voir comment... Est-ce que Sébastien, est-ce que vous pouvez prendre la direction? Parce que je dois laisser un moment. Alors Sébastien...

Pour Sébastien : Merci Cheryl, dit Sébastien. J’ai un peu de difficultés avec mon parleur. Mais je pense que Cheryl voulait que j’adresse quoi? Comment... Comment vous allez avoir les échanges avec les groupes pour l’amélioration au sujet de ce que vous allez faire, quelles sont vos intentions. Je pense qu’on en a déjà discuté. La première chose qu’on va faire c’est d’avoir une conversation téléphonique avec Cheryl aujourd’hui peut-être. Si c’est trop pénible pour elle, la pauvre, quand elle peut. Et on va diviser les tâches courantes dans des actions, des articles d’action, en commençant avec les règlements. Peut-être ça sera la meilleure place où on peut commencer. Heidi, est-ce que vous êtes d’accord?

Pour Cheryl : Alors je pense qu’elle est en « muet », dit Cheryl. C’est ça qu’on a discuté. Mais la prochaine étape c’est que Heidi devait se mettre en contact avec vous. Et maintenant on va chercher...

Pour Sébastien (?) : Est-ce que c’est possible de vous parler aujourd’hui, Cheryl? D’avoir un autre coup de fil?

Pour Cheryl : Ça dépend, dit Cheryl, si c’est pas trop tard. On va – je vais vous informer si je trouve mon agenda.

Pour Evan : Ça c’est Evan : J’ai reçu un message de Heidi qu’elle n’est pas sur l’appel maintenant.

Pour participant non-identifié : Et peut-être – un autre dit : Peut-être vous pouvez lui dire comment vous êtes d’accord de travailler avec les membres d’ALAC et le directeur des RALO et directeur des RALO.

Pour participant non-identifié : Je m’excuse, dit... Je voulais dire qu’on avait discuté Heidi. J’espère que c’est pas trop tard, que Cheryl peut participer avec nous et diviser...

Pour Heidi : Oui, dit Heidi. Nous allons discuter l’amélioration ALAC avec Cheryl aujourd’hui ou demain, dit Heidi, quand elle pourra. Et puis on va développer un plan de projet pour les prochaines utilisations aux réunions ALAC, au AC et (inaudible) AC à Nairobi mardi, et le développement d’un plan de projet inclut un budget avec l’amélioration ALAC après la discussion initiale avec Kévin Wilson. Et les réunions des comités exécutifs vendredi à Nairobi. Et avec des discussions là. Et puis, comme on a discuté dans les – la conférence d’appel pour l’amélioration ALAC, on va utiliser à faire l’allocation des différentes tâches avec les différents groupes de travail et puis la communauté at large pour allouer, pour choisir ces tâches et commencer à implémenter ces différentes tâches.

Alors je pense que c’est ça qu’on – on avait bien discuté, oui, d’accord. Mais je voudrais savoir aussi, dit Heidi, qu’on demande les questions justes avec Cheryl. Et je suis sûre qu’elle va demander les différents présidents des groupes de travail et les membres ALAC et la communauté at large, elle va poser certainement ces questions à tout le monde quand on avance avec ça.

Pour Cheryl : Je pense que, Cheryl dit, on va faire tout justice à nos améliorations ALAC. Je m’excuse, mais vous avez – ce qui est vraiment... Nous sommes en train de vivre dans des – dans des périodes intéressantes. Je suis sûre, dit Cheryl, qu’on va travailler ensemble dans le futur. J’espère.

Interprète : Okay. Cheryl, there is something from the French coming in here. Okay, thank you. Continuez. Continuez. Parlez. Qui parle?

Hawa : Oui, je m’excuse, cinq minutes. J’avais entendu, mais je vais parler à quelqu’un vite, vite. Je reste en ligne mais pas à côté du téléphone, si vous avez besoin de moi. Okay?

Interprète : Okay.

Tijani : Tricia, c’était Hawa, hein?

Interprète : Pour Cheryl : Merci Hawa. On est en train de conclure maintenant. S’il y a des autres affaires, je ne veux pas, dit Cheryl, le... Il y a une question très importante.

Interprète : Si vous pouvez mettre en « muet » parce qu’il y a une réverbération et je n’entends plus Cheryl.

Pour Cheryl : Alors j’espère qu’on va entrer en plus de détails à Nairobi. Parlez Adam. Adam, dit Cheryl?

Pour Adam : C’est une question sur le – pour Nairobi, ALAC at large, s’il y a des personnes locales là, si on va être en contact. Si on pourrait le faire plutôt dans les prochains jours parce que c’est presque – on est presque arrivés à Nairobi. Mais ce sont des réunions qu’ils doivent participer. Ces types de réunion pour élargir la communauté.

Pour Cheryl : Et Cheryl répond : Je pense que ça c’est important pour ce qui concerne RALO. Je pense que les leaders d’AFRALO seraient très contents de travailler avec vous, j’imagine, de développer plus d’engagement et d’activités en ce qu’ils sont en train de faire. Alors en ce cas, elle répond, c’est une question d’établir une base et de faire une précision de ce qu’on va faire. Alors Cheryl dit...

Interprète : Tijani, vous êtes encore là? Vous êtes là Tijani?

Tijani : Oui, oui, oui. Je suis là, oui. Oui je suis là.

Interprète : D’accord. Alors Cheryl.

Pour Cheryl : Ce que je vous ai demandé, Tijani, c’est de vous assurer qu’Adam reçoive des copies du planning, du plan, et aussi qu’il reçoive votre nom comme contact, point de contact quand il est en train de passer des informations aux listes. Par exemple, ça ce sont des questions logistiques. Et il peut être en contact avec vous, travailler avec vous. Et Heidi va s’assurer, Adam, que les détails pour la présentation AFRALO, le spectacle AFRALO sont dans un espace particulier de liaison, de link. Mais certainement les régions locales sont très occupées. Et ça sera vraiment formidable d’avoir plus d’informations et d’être en contact avec vous.

D’accord, dit Cheryl. Alors maintenant s’il y a d’autres affaires, je voudrais, seulement pour des points d’information, nous n’avons pas un quorum alors on ne peut pas faire de décision. Mais on veut absolument le mettre sur les choses à faire dans une manière plutôt sérieuse à Nairobi. Si quelqu’un veut avoir le comité exécutif présenter une note avec une réunion de suivi après celle-ci, il y a aussi celui de l’Asie Pacifique et les cTLD comme possibilités. Mais on est un peu préoccupé. Et on veut demander pourquoi les .cn, les applications – l’application n’a pas été agréée. On veut savoir de qui est la personne entre ICANN, de nous dire et de nous expliquer quel a été l’obstacle vraiment, quelle a été la chose dans l’application, le .cn pour ce qui concerne le fast track IDN. Et, comme communauté, on a besoin peut-être – je parle de l’organisation at large et ALAC, ce qu’on doit faire pour découvrir ce qui se passe à ce sujet et quelle est la raison?

Alors avec cette note, Cheryl, s’il y a des autres affaires d’autres participants? Oui. Alors à vous.

Pour Sébastien : Je pense que c’est Sébastien. ...de soutenir AFRALO. On cherche de desserrer le temps pendant la réunion à Nairobi de discuter des idées. Et une fois qu’on a cette réunion fast track et la manière que ça marche, celui – la réunion accélérée, on espère qu’on aura cette réunion accélérée. Je ne suis pas sûr de comment on le fera et qui va recevoir ça et qui ne reçoit pas ça. Mais at large pourrait nous informer.

Pour Cheryl : Et Cheryl veut dire : Je pense que c’est ça une de ces choses qu’on doit avoir des petits débats à Nairobi. Alors, avec cette préparation, c’est les leaders régionaux sont ici, vont regarder les transcriptions plus tard. Et de vous assurer que vous êtes en contact avec les ALS locales et le point de vue régional, au moins qu’on ait préparé. Est-ce qu’il y a d’autre affaire des autres? Quelqu’un? Non?

Je voudrais vous remercier tout le monde, surtout vous qui vous êtres restés jusqu’à la fin, pour une réunion vraiment héroïque mais très productive, je dirais. Et je dis, Cheryl, qu’on est en train de faire du travail vraiment important. Ça, on cherche de faire le plus possible de travail. Mais on n’a pas tout terminé. Mais je pense, dit Cheryl, on avait un besoin très important de faire ces autres choses. Mais on va chercher de mettre en ordre les autres choses avant d’arriver à Nairobi et de ce qu’on a discuté, et avoir le résultat le meilleur possible.

L’autre chose c’était, avec le programme de Nairobi, si vous pouvez tous vous assurer, ceux qui voyagent à Nairobi, qui est d’ALAC ou régional, que vous regardiez tous les plans et les présentations de Nairobi, les programmes, surtout pour décider ceux qui sont des réunions que vous voulez participer. Et comme ça on peut avoir de la réaction, comme on vient de faire, pour les dernières réunions. On ne va pas passer beaucoup de temps à ce sujet quand on arrive là. Mais surtout c’est d’avoir les réactions. Et on veut s’assurer qu’on a toutes les bases préparées. Et aussi, donnez-nous vos programmes de voyage, d’arrivée, de départ.

Alors Vanda, est-ce qu’il y a un rapport de liaison? Question pour Vanda quelque part? De quelque côté? Vanda est là. On vous écoute Vanda.

Pour Vanda : Je demande si quelqu’un sur l’appel a des questions, Vanda demande.

Pour Sébastien : Vous faites un travail merveilleux, dit Sébastien.

Pour Vanda : Non, je ne demande pas – je veux seulement qu’ALAC et les autres membres qui ne sont pas toujours en contact, peut-être qu’ils ont des questions au sujet.

Pour Sébastien : Sébastien dit : J’ai une question mais j’ai écrit ça au commencement, au sujet les remarques qu’on a faites sur le planning de stratégie, parce qu’il paraît que nos projets, je ne sais pas si ça fonctionne, et alors que ça ne sera pas considéré dans la phase du budget. Alors si vous pouvez nous donner des conseils. Pas maintenant mais plus tard, ça serait très utile.

Pour Vanda : D’accord, dit Vanda.

Pour Cheryl : Alors Cheryl voudrait, dit Cheryl, je voudrais encourager les leaders régionaux de prendre leurs ordres du jour dans des réunions de suivi dans les rapports à liaison, parce que ça c’est vraiment utile d’avoir ces participations. Vanda, je suis sûre qu’elle sera disponible à répondre aux régions, aux ALS.

Nous devons terminer maintenant l’appel. Je vous remercie infiniment de votre temps. Et je donne maintenant au comité exécutif une pause de cinq minutes avant de recommencer. Maintenant on peut continuer avec la transcription et le mp3. Je vous remercie infiniment tout le monde, chacun de vous. Bonsoir et bonjour, dit Cheryl à tout le monde.

Interprète : Good night. Thank you. Thank you. Alors maintenant, si vous voulez parler entre vous, je ne sais pas, Tijani et Hawa, si vous êtes encore en ligne.

Tijani : Oui. Je suis toujours là.

Interprète : Vous êtes là.

Tijani : Oui, je suis encore là.

Interprète : Alors peut-être vous voulez parler ensemble. Je vous laisse.

Tijani : Oui, d’accord. Okay. Hawa? Hawa, tu es là?

Interprète : Je me mets en « muet ».

Tijani : Oui. Hawa, est-ce que tu es là? Hawa? Non. Elle n’est plus là.

INterprète : Ah, elle n’est plus là. Alors on laisse.

Tijani : Bon. Okay. Allez, bye-bye

Interprète : Merci. Merci. Au revoir Tijani. À tout à l’heure.

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